jeudi 30 octobre 2014

C'est bien la crise


Les problèmes des boulangers sont croissants ...
Alors que les bouchers veulent défendre leur beefsteak , les éleveurs de volailles se font plumer , les éleveurs de chiens sont aux abois , les pêcheurs haussent le ton !
Et bien sûr , les éleveurs de porcs "grognent " , tandis que les céréaliers sont sur la paille.
Par ailleurs , alors que les brasseurs sont sous pression , les viticulteurs trinquent .
Heureusement , les électriciens résistent .
Mais pour les couvreurs , c'est la tuile et certains plombiers prennent carrément la fuite .
Dans l'industrie automobile , les salariés débrayent , dans l'espoir que la direction fasse marche arrière .
Chez EDF , les syndicats sont sous tension , mais la direction ne semble pas au courant .
Les cheminots voudraient garder leur train de vie , mais la crise est arrivée sans crier gare , alors .....
Les veilleurs de nuit , eux , vivent au jour le jour ..
Pendant que les pédicures travaillent d'arrache-pied , les croupiers jouent le tout pour le tout , les dessinateurs font grise mine , les militaires partent en retraite , les imprimeurs dépriment et les météorologistes sont en dépression ..
Les prostituées , elles , se retrouvent à la rue .
Amis , c'est vraiment une mauvaise passe

mercredi 29 octobre 2014

Vaut mieux transporter du poisson surgelé !



                             

                                 ...et se mettre au tout électrique!

mardi 28 octobre 2014

Heure d'hiver !

Le laurier rose et le camélia font de la résistance

dans un ciel sans nuage depuis trois mois !

lundi 27 octobre 2014

Coup de gueule du lundi

Corruptissma republica plurimae leges
Plus l'État est corrompu, plus les lois se multiplient... (Tacite)
Ne manquez pas de cliquer sur ce lien avant qu'il disparaisse....

http://www.youtube.com/embed/jbLFo02jlH8

vendredi 24 octobre 2014

mardi 21 octobre 2014

Conversation-17- avec Cora




- Mon Dieu te revoilà déjà, ma chérie ! Je pense que j’ai dû te faire une méchante impression à ta dernière visite. T’inquiète je ne suis pas suicidaire, j’adore la vie et je ne suis pas pressée de passer l’arme à gauche !
- J ‘ai eu du mal à arriver jusqu’à vous à travers la manifestation « Pour la famille ».
- Qu’est ce que cela veut dire « Pour la famille » ?
-Ne me dites pas que vous n’en savez vraiment rien !
- Tout de même je suis au courant ! Les media regorgent d’explications et de commentaires  qui vont des mariages homosexuels aux mères porteuses en passant par la  F.I.V, la  G .M .A, la  P.M.A …et hier j’ai entendu parler de la congélation des ovocytes qui permettrait aux femmes d’avoir des enfants avec qui et quand elles le désirent… Sans compter avec les querelles sur l’adoption ! On ne peut guère ignorer toutes ces questions, le salmigondis qui en est fait et les polémiques sur les réponses ….
- Effectivement les problèmes sont complexes et posent des questions d’éthique mais chaque fois que la science fait une découverte il faut  s’attendre à ce qu’elle passe dans le domaine des applications.
- J’ai peur que notre conversation sur ces sujets, dont même les spécialistes ne mesurent  vraiment pas les tenants et les aboutissants,  ressemble à une naïve  brève de comptoir ! Pour ce que je peux comprendre mon souci est qu’un enfant devrait être  « le même » quelle que soit la façon dont il est venu au monde et chéri également. Comment va-t-il évoluer dans tous ces cas de figure ? On connait mieux maintenant les difficultés  que rencontrent certains  enfants adoptés et même quelquefois ceux qui vivent dans des familles dites recomposées, alors avec toutes ces nouvelles possibilités…
- Il y a aussi  des malheureux dans des familles « traditionnelles » …
- Hélas. Mais tu vois l’avantage d’être un vieux machin comme moi, c’est de s’intéresser à tout, au flot des évolutions sociales…Mais depuis la rive.
- La famille, les enfants ce devait être plus simple autrefois ?
- Plus simple mais tout aussi difficile, tiens, cela  me donne l’occasion de te parler de mes parents.
Après la guerre en 1919 mon  père, dix-neuf ans, était frais diplômé de Joinville. Le sport n’étant pas à l’époque un moyen de gagner sa vie, il a passé tous les concours administratifs ouverts en priorité aux rescapés de la Grande guerre. Il avait depuis son enfance la passion des chiffres et  depuis ses années de collège il gagnait pratiquement autant que son père en tenant la comptabilité des commerçants de son quartier. Le voilà donc  Commis des contributions indirectes. Je suppose que, si jeune, après avoir vécu l’horreur, il n’avait guère envie de rentrer illico dans un carcan administratif. D’ailleurs une de mes tantes, toute confuse de me faire pareille révélation, m’a appris « que Charles avait pris une année sabbatique en travaillant comme « Boy » dans des revues parisiennes » ! La pauvre en était toute honteuse, moi ravie, j’imaginais mon père dansant dans la troupe des jeunes gens élégants en toile de fond de Mistinguett ou Joséphine Baker… Ce prologue tout en légèreté   n’a pas nui à sa carrière puisque, tout en travaillant, il a obtenu des diplômes de droit et d’expertise comptable qui l’ont amené en fin de carrière au poste d’Inspecteur central du Trésor.
- Et votre maman ?
-  Après ses études secondaires, Greffière de Juge de paix, elle menait une vie très sage due à son éducation… et à une  supposée malformation du cœur, difficilement décelable donc non curable.
Tu auras sans doute du mal à imaginer les longues fiançailles chastes entre Charles, divorcé d’un précédent mariage malheureux qu’il avait dû contracter pour « réparation » et Ninou la pure jeune fille... Charles divorcé, c’était la honte, on le montrait du doigt !  Quand il a rencontré celle qui serait ma mère, on exigeait de lui encore plus de preuves du sérieux de sa démarche en raison de son « passé » dans l’exercice conjugal… A l’époque c’était le but de  la période très chaste de « la fréquentation ». J’ai encore dans mes reliques les  broderies au petit point qu’ils exécutaient tous les deux pendant leurs dimanches après-midi de tendres causeries. Bref ils se marièrent.
-…Et eurent beaucoup d’enfants ?
- Hélas ce ne fut pas aussi rose que dans les contes de fées... Peux-tu réaliser qu’il n’y avait à l’époque aucun moyen de contraception ? Même la méthode Ogino n’était pas encore connue. Pour se « libérer » les femmes inventaient les pratiques les plus atroces à base de savon de Marseille, d’eau de javel, avaient recours aux »faiseuses d’anges », se martyrisant de toutes les manières  jusqu’aux plus graves blessures, jusqu’à la mort. Ainsi la vie de jeune femme de ma mère, dont le cœur était décidément trop faible pour mener à bien une autre  grossesse après ma naissance prématurée, a été marquée par une  série d’avortements. Dans son malheur elle a eu la chance d’être reconnue par le corps médical et a eu droit à des « avortements  thérapeutiques ». Ils la laissaient chaque fois plus faible avec la culpabilité de ne pouvoir « combler les vœux de son mari ». On parlait librement devant les enfants, sensés alors ne rien comprendre et  je me souviens de mon effroi quand elle évoquait avec ses amies l’abomination d’un curetage fait à vif, sans anesthésie…
- Quelle époque !
- Comme tu dis !  Entre la crise de 29 et la guerre de 39 au point de vue technologique c’était un essor sans pareil auquel les gens se sont immédiatement adaptés. Mais pour les mœurs… La race des hommes c’était quelque chose ! Supérieure, évidemment, tout ce qui était important, avait de la valeur, était fait par les hommes pour les  hommes. Aux femmes le foyer, les enfants, les tâches ménagères dans le sourire et la bonne humeur.
 « Ce sont les femmes qui font et défont les ménages » prêchait-on alors !
- Mais votre génération, en ce qui concerne les femmes en âge de reproduite, a été plus avertie, mieux protégée ?
- Voilà un mot que j’ai en horreur : « reproduite » qui semble réduire les femmes à une fonction pondeuse ! Mais non ce n’était guère plus  brillant. Le nouvel Ogino était arrivé, bien peu fiable, il y avait le coït interrompu, l’abstinence( !)  On n’apprenait pas les moyens de contraception dans les facultés de médecine. Je me souviens  même de mon jeune  docteur, déjà père de cinq enfants, et qui, un jour de courage, m’a demandé « comment je faisais avec mon mari pour limiter les dégâts». Il pensait, et tu vas le  dire aussi, que j’avais la chance et, c’est ben vrai,  comme disait la Mère Denis, d’avoir donné le jour à trois superbes enfants désirés. Vite après la dernière naissance  j’ai pu bénéficier de « la pilule », véritable sécurisation dans nos vies de jeunes femmes.
Pour en revenir au début de notre conversation j’avoue avoirs du mal à imaginer ce que seront ces nouvelles familles, ces nouveaux enfants,  ces nouvelles fratries.          Bah ! J’ai confiance en l’avenir.
Simplement  dans ma petite tête d’ancienne juriste je trouve aberrant ce qu’on appelle « Le droit à l’enfant ».
 Pour que tous ceux qui vont être conçus de quelque manière que ce soit, naître dans n’importe quel type de foyer, afin qu’ils s’y épanouissent  dans  un statut égalitaire, protégés et  heureux,  je crois qu’il faudra se pencher très sérieusement,  plus que jamais, sur le légitime  « DROIT  des ENFANTS ».

lundi 20 octobre 2014

Quel temps !


                            ... Ciels d'un automne exceptionnel . Ici avec un quartier de lune.



                                               
                                                     Là , très pur et déjà chaud





Les soirées sont aussi belles :

                                                    
                                                   Et la dernière rose va s'endormir.



vendredi 17 octobre 2014

Promenade automnale


Dieu fait bien ce qu'il fait. Sans en chercher la preuve
En tout cet Univers, et l'aller parcourant,
Dans les Citrouilles je la trouve.

.
Un villageois, considérant
Combien ce fruit est gros, et sa tige menue,
" À quoi songeait, dit-il, l'Auteur de tout cela ?
Il a bien mal placé cette Citrouille-là
Hé parbleu, je l'aurais pendue
À l'un des chênes que voilà.
C'eût été justement l'affaire ;
Tel fruit, tel arbre, pour bien faire.
C'est dommage Garo que tu n'es point entré
Au conseil de celui que prêche ton Curé;
Tout en eût été mieux; car pourquoi par exemple
Le Gland, qui n'est pas gros comme mon petit doigt,
Ne pend-il pas en cet endroit ?
Dieu s'est mépris; plus je contemple
Ces fruits ainsi placés, plus il semble à Garo
Que l'on a fait un quiproquo. "
Cette réflexion embarrassant notre homme
" On ne dort point, dit-il quand on a tant d'esprit. "
Sous un chêne aussitôt il va prendre son somme.
Un gland tombe; le nez du dormeur en pâtit.
II s'éveille ; et portant la main sur son visage,
Il trouve encore le Gland pris au poil du menton.
Son nez meurtri le force à changer de langage ;
" Oh, oh, dit-il, je saigne! et que serait-ce donc
S'il fut tombé de l'arbre une masse plus lourde,
Et que ce Gland eût été gourde?
Dieu ne l'a pas voulu: sans doute il eut raison;
J'en vois bien à présent la cause. "
En louant Dieu de toute chose,
Garo retourne à la maison.
La Fontaine, " Fables nouvelles et autres poésies " (1671)

Angélique

mercredi 15 octobre 2014

Conversation-16- avec Cora.




- Ma chère Cora ce matin mes étudiants ont travaillé sur « Le temps et l’éternité » je regrette un peu d’avoir choisi ce thème.
- Pourquoi ?  Cela me rappelle ce que disait « l’autre » : «  Il me faudrait du temps pour t’expliquer l’éternité, et il te faudrait l’éternité pour comprendre le temps … »
-  Oh là là  ça ne va pas ce matin Cora vous avez l’air bouleversée.
- Encore une amie qui disparait, c’est vrai que j’ai beaucoup de chagrin mais, ne t’inquiète pas, il sera vite surmonté. De l’indifférence ? Non, du fait d’un cœur trop vieux trop égoïste pour s’émouvoir ? Encore moins. Sans doute la résignation de l’inévitable disparition d’une personne âgée. De la peine pour elle qui ne verra plus la beauté du jour, de la peine pour les siens qui vont être démunis d’un pilier familial.
J’ai dit disparition ? De l’environnement évidemment mais présente à jamais près de moi comme de tous ceux qui l’ont aimée.
- Cora je n’aime pas vous voir perdue dans ces pensées morbides.
- Pas du tout, pensées qui sont la normalité quotidienne à mon âge. Comment peux-tu, toi, imaginer la période de ta vie où tu es plus entourée de morts que de vivants ? Où quand tu penses à un événement de ton passé il n’est plus habité, déserté par ceux qui l’ont vécu avec toi. Ils emmènent avec eux une part de ton vécu dont tu n’as oublié aucune émotion. Tu revois le film en couleur, son et images… On parle « du poids des ans » la majeure part en est due à l’accumulation en soi de ces fantômes qu’on croit  si légers.
- Ne me dites pas que vous faites comme tous ceux qui aux enterrements font les louanges du défunt même s’il était la pire des canailles !
- Les choses sont plus complexes. C’est vrai que le temps émousse les aspérités, nous n’avons pas côtoyé que des êtres aimables, on peut avec l’usure ou l’indulgence du temps, comprendre le pourquoi de leur méchanceté de leur jalousie… et ceux qui ne sont plus, sur terre,  ne forment autour de nous qu’un halo bénéfique certains au premier plan d’autre plus éloignés. De la même façon que nous évoluons toute notre vie, la présence des morts que nous portons se domestique et s’adoucit.
- Même si immédiatement après le décès cela peut paraitre hypocrite il faut reconnaitre qu’il y a toujours une part à sauver chez quelqu’un.
- Mais oui ,avec le temps le côté sombre s’explique, se comprend toujours se pardonne  parfois. J’ai eu la chance de connaitre peu de personnes désagréables et d’avoir été entourée au  fil des années,  dans différents registres, d’hommes et de femmes de grande valeur. Beaucoup d’amour a  circulé entre les autres et moi…
- Arrêtez, Cora, cette nostalgie me peine.
- Ne dis pas de bêtises. Si tu savais comme j’apprécie cette « charge »  faite du souvenir d’une personne chère dont tu sens la présence à jamais  chaleureuse.  Elle t’enveloppe d’une aura confortable. C’est un tissu indestructible constitué d’actions, d’émotions vécus en commun.  J’ai toujours été fascinée par ce que religieux et/ou philosophes nous apprenaient de « la vie éternelle ».  Bien entendu il n’est  pas question de  se laisser endoctriner mais de découvrir par soi-même à quoi correspond ce concept. Invariablement, l’esprit, le cœur, ont du mal à accepter  lors d’un décès qu’une personnalité aussi originale,  qu’une vie aussi remplie, que tant  d’amour, tant d’ambition tant de travail et de culture disparaissent à jamais. Il existe chez nous tous le refus que ce départ soit définitif  et que tout ce qui a constitué la merveilleuse complexité d’un être vivant s’efface sans laisser aucune trace. Heureux ceux qui, grâce à leur religion, croient à la survie de l’âme. Peut-être n’est ce pas indispensable à ceux qui, au minimum sont attentifs aux autres, encore moins s’ils les ont aimés. L’enrichissement intime ainsi provoqué fait de nous des cavernes plus rutilantes que celle d’Ali Baba où s’entassent au fil des ans les trésors laissés par les rencontres avec ces morts  tous uniques, que la vie nous a donné la chance de côtoyer.
Pour moi la vie éternelle est celle, qui après la mort nous permet de perdurer dans la pensée, dans le cœur de ceux qui nous ont connus.
- Vous pensez que d’une certaine manière nous vivons encore tant que quelqu’un se souvient de nous ?
- Exactement .
Ça suffit !! Passe-moi mes mots fléchés et à bientôt !


mardi 14 octobre 2014

Le Marx qu'on aime


Douceur d'avant guerre...



samedi 11 octobre 2014

Après le Chatrose de François...

...L'Arthrose des doigts.
Certains d'entre vous se plaignent de ce fléau, j'aimerais les aider avec cette information au sujet d'une thérapie  qui guérit par de simples mouvements des doigts.
Il s'agit d'une variante de la digipuncture .
C'est un exercice simple que l'on peut faire à chaque moment de la journée.
Les avantages sont énormes :
__ Anti-dépression et stress, normalise la pression sanguine.
__ Active la production de sérotonine, substance du cerveau qui augmente le plaisir et la joie.
__ Active la circulation sanguine.
__ Active la libido.
__ Guérit l'anxiété.
__ Élimine les phobies.


J'aimerais beaucoup tester la méthode. Quelqu'un pourrait-il me fournir le matériel ?
D'avance, merci...

Modiano



Reusement que le Nobel de Littérature est plus sérieux que le Nobel de la Paix...





vendredi 10 octobre 2014

Passagères


Des jumelles dans leur étui






 Certains ont de la chance....
       












                 D'autres moins... 

jeudi 9 octobre 2014

mercredi 8 octobre 2014

Passepartout

comment on appelle "Un tout petit homme" qui...
 
1) appartient à une religion : un nain doux
 2) n'a pas de nom :
un nain porte qui
 3) n'est bon à rien :
un nain capable
 4) qui est mort :
un nain fini
 
5) n'est jamais sûr de lui : un nain décis
 
6) qui parle trop : un nain discret
 
7) qui est humain : un nain parfait
 8) a perdu son honneur :
un nain digne
 9) qui montre ses fesses :
un nain pudique  
 10) qui vient d'ailleurs : un nain porté
 
11) a des pensées malsaines : un nain pur
 12) change souvent d'idée : un nain stable
 13) fait pipi partout :
un nain continent
 14) n'est pas capable :
un nain puissant
 15) qui a un gourou :
un nain secte
 16) qui est handicapé :
un nain valide
 
17) celui qui est attendu : un nain vité
 
18) qui n'attend pas :un nain patient
 19) que l'on n'attend plus :
un nain prévu
 20) qui est mal élevé :
un nain poli
 
21) Qui est stupide : un nain bécile
 

Toi qui as eu la patience d
e lire jusqu'au bout, bien que tu sois physiquement un nain connu je te considère comme un ami et tu n'es pas pour moi nain porte qui !!

lundi 6 octobre 2014

dimanche 5 octobre 2014

Orage sensuel

Ils étaient ensemble à la maison.
Seuls tous les deux.
Il faisait froid, une nuit sombre et orageuse.
La tempête était venue rapidement.
Et chaque fois que le tonnerre se faisait entendre,
il la voyait sursauter.
Elle regarda à travers la pièce et admira son apparence forte ...
Elle voulait qu'il la prenne dans ses bras, la réconforter et la protéger.
Soudain, un grand bruit,  puis une panne d'électricité .
Elle a crié .
Il a couru vers le canapé où elle était recroquevillée.
Il n'a pas hésité à la prendre dans ses bras.
Il savait que c'était une union interdite et s'attendait à ce qu'elle le repousse.
Il a été surpris quand elle n'a pas résisté mais au contraire s'accrochait à lui.
La tempête continuait .
Ils savaient que c'était mal .
Leurs familles ne comprendraient jamais .
Tellement préoccupés par leur crainte, ils n'ont pas entendu la porte s'ouvrir.
Juste le léger déclic d'un appareil photo...