mercredi 20 juin 2018





Petit, si petit ignoré sur les cartes, le minuscule ilot de la Rémission.
Elle a essuyé mille tempêtes la coque brisée que la houle roule aux récifs aigus.
Du marin malheureux demeure une palpitation éclose au sable chaud, elle se transforme, s’étire, métamorphose heureuse.
La brise parfumée à nouveau respirée  au doux rythme des flots, les couleurs du vivant vibrant dans l’air léger, le chant  des oiseaux longtemps perdu et retrouvé…
Le bonheur renaissant du vivre sans souffrir.
De combien d’heures sera l’escale ?
Pitié -  Oubliez là le naufragé.

8 commentaires:

  1. A mí todo lo relacionado con el mar, me da un poco de repelús.

    Besos.

    RépondreSupprimer
  2. Mieux vaut ne pas partir en vacances à l'île ...
    Una abraçada manouche..

    RépondreSupprimer
  3. La gramática es tu gran forma de escribir

    RépondreSupprimer
  4. texte manifique très polycémique
    ile la rémission
    merci ma très chére <manouche ainsi que la conscience sur la pêche éléctrique que je viens de regarder
    merci
    et je t'embrasse..
    La dame en fuseau de satin noir
    dans les défilé des "Nous"

    RépondreSupprimer
  5. Cela s'appelle du lâcher prise...

    RépondreSupprimer
  6. Texte magnifique, oui qu'on oublie là le naufragé.

    RépondreSupprimer
  7. Châpeau, Mme!!

    "Il y a souvent plus des choses naufragées au fond d'une âme qu'au fond de la mer" V.H.

    Bizz, ma gitane.

    RépondreSupprimer