Le grand passage. Le seuil de l'immortalité Est assez haut, en pierre, avec des plantes On ne s'apercevait pas du tout qu'on le passait Mais de l'autre côté Des tripotées D'oiseaux sans ailes ni sans eaux Poussaient des cris d'échiran...
cette java là et "tiens, voilà du boudin " : la parole en liberté ! sacré Boris ! quant-à toi, ma copine , aurait-on toujours ainsi les mêmes goûts ? bizzzz de tzd
purée de moi ! je n'avais pas assez reculé dans ton BLOG ! j'ai eu la même idée !!! j'espère que tu n'en veux pas à la COPIEUSE ! PS : je recule encore dans le temps, sait-on jamais ?
cette java là et "tiens, voilà du boudin " : la parole en liberté !
RépondreSupprimersacré Boris !
quant-à toi, ma copine , aurait-on toujours ainsi les mêmes goûts ?
bizzzz de tzd
Yes !
RépondreSupprimerpurée de moi ! je n'avais pas assez reculé dans ton BLOG !
RépondreSupprimerj'ai eu la même idée !!!
j'espère que tu n'en veux pas à la COPIEUSE !
PS : je recule encore dans le temps, sait-on jamais ?
mais c'est pas vrai! mon cerveau s'embrume !
RépondreSupprimerje t'avais même mis un commentaire !
je n'ai plus la t^te sur les zépoles ...