Aller à Madrid, Musée du Prado. S’asseoir face au chef d’œuvre de Jérôme Bosch. Oublier l’époque et le temps. Ignorer les savantes études de générations de critiques et d’historiens de l’art. Faire le vide et laisser aller ces folies mystiques et érotiques au plus profond du cerveau reptilien pour ressentir sans comprendre. Vibrer comme au XVIème siècle avec le bestiaire mythique mêlé à la représentation tragique de l'immuable destinée humaine au traits parfaitement maîtrisés et aux couleurs chatoyantes. Profiter.
Mon cerveau super mega reptilien a frissonné ! purée ! pourvu que je croupisse pas en enfer ! à la réflexion, je m'en moque seul le présent existe je t'embrasse TZD
Vibrer.
RépondreSupprimerMon cerveau super mega reptilien a frissonné !
RépondreSupprimerpurée ! pourvu que je croupisse pas en enfer !
à la réflexion, je m'en moque
seul le présent existe
je t'embrasse
TZD