vendredi 6 avril 2012

Un pantoun, mineur mais sincère, en forme d'Oeuf pour de Joyeuses Pâques.


Mon cœur pétille d’allégresse,
Oubliées les heures sombres.
Du printemps renait la jeunesse
Les jours allongent sans une ombre.

Oubliées les heures sombres
Habillées de larmes amères.
Les jours allongent sans une ombre
Où jouent de claires chimères.

                                                           
                                                                                                     
                                                                         Habillées de larmes amères
D’anciens jours trop lourds à porter.
Où jouent de claires chimères
Que  la brise va  escorter.

D’anciens jours  trop lourds à porter,
Mes amis vont les alléger.
Que la brise  va escorter
Décoiffant les fleurs du verger.

Mes amis vont les alléger
Leurs épaules où m’appuyer.
Décoiffant les fleurs du verger
Dans le halo vert du noyer.

Leurs  épaules où m’appuyer
Des  âmes à qui me confier
Dans le halo vert du noyer
Que le merle va glorifier.

Des âmes à qui me confier
J’en ai maintes de qualité 
Que le merle va glorifier
En chantant la fidélité.

J’en ai maintes de qualité
Adieu chagrin adieu tristesse
En chantant la fidélité
Mon  cœur pétille d’allégresse.



6 commentaires:

  1. adorable pantuon rimée mazettette gazette et des belle fleurs de quoi enchanté le coeur.
    merci de ta sympathie et de m'avoir appris l'obelisque de matisse diable ils ont fait naître de beau commentaire
    belles pâques pour toi

    RépondreSupprimer
  2. "des âmes à qui me confier" , dites-vous si bien ! moi , je suis le fruit qu'on fit , somme toute !

    RépondreSupprimer
  3. Oh ma Frankie jolie, c'est plutôt l'odalisque de Matisse...

    RépondreSupprimer
  4. pétille pétille ! nous sommes là !
    bizzzz

    RépondreSupprimer
  5. Uma bela postagem.
    Uma Feliz Páscoa para você!
    Obrigado por seu comentário e visita.
    Abraços
    José Jaime

    RépondreSupprimer
  6. @ José jaime"
    BIenvenida
    Je te dédie ce proverbe breton que je viens d'apprendre:
    "Quand le merle chante en mai
    Avril est fini".

    RépondreSupprimer