Mon cœur pétille d’allégresse,
Oubliées les heures sombres.
Du printemps renait la jeunesse
Les jours allongent sans une ombre.
Oubliées les heures sombres
Habillées de larmes amères.
Les jours allongent sans une ombre
Où jouent de claires chimères.
Habillées de larmes amères
Où jouent de claires chimères
Que la brise va escorter.
D’anciens jours trop lourds à porter,
Mes amis vont les alléger.
Que la brise va escorter
Décoiffant les fleurs du verger.
Mes amis vont les alléger
Leurs épaules où m’appuyer.
Décoiffant les fleurs du verger
Dans le halo vert du noyer.
Leurs épaules où m’appuyer
Des âmes à qui me confier
Que le merle va glorifier.
Des âmes à qui me confier
J’en ai maintes de qualité
Que le merle va glorifier
En chantant la fidélité.
J’en ai maintes de qualité
Adieu chagrin adieu tristesse
En chantant la fidélité
Mon cœur pétille d’allégresse.
adorable pantuon rimée mazettette gazette et des belle fleurs de quoi enchanté le coeur.
RépondreSupprimermerci de ta sympathie et de m'avoir appris l'obelisque de matisse diable ils ont fait naître de beau commentaire
belles pâques pour toi
"des âmes à qui me confier" , dites-vous si bien ! moi , je suis le fruit qu'on fit , somme toute !
RépondreSupprimerOh ma Frankie jolie, c'est plutôt l'odalisque de Matisse...
RépondreSupprimerpétille pétille ! nous sommes là !
RépondreSupprimerbizzzz
Uma bela postagem.
RépondreSupprimerUma Feliz Páscoa para você!
Obrigado por seu comentário e visita.
Abraços
José Jaime
@ José jaime"
RépondreSupprimerBIenvenida
Je te dédie ce proverbe breton que je viens d'apprendre:
"Quand le merle chante en mai
Avril est fini".