Au XVI siècle la Nouvelle France recouvrait trois grandes régions : La Louisiane, l’Acadie et le Canada. Différentes du découpage actuel .Il ne s’agissait alors que d’une colonie comptoir, une escale temporaire pour les besoins de la chasse, de la pêche et du commerce des fourrures. Au début du XVII e siècle, un apothicaire parisien, Louis Hébert s’y établit, au titre de procureur du roi. Il s’installa pour faire souche en tant que propriétaire terrien, créant le fief de Sault-au Matelot à Québec. En conséquence Richelieu fonda en 1627 la Compagnie des Cent-Associés y introduisant le régime seigneurial et coutumier de Paris. Plus tard Colbert y instaura le gouvernement royal.
Les fameuses « filles du roy »peuvent alors franchir l’Atlantique.
Elles ne sont pas telles que les décrivent des fables désobligeantes :
-Les" filles du roy" du Canada sont des catins !
-On prétend qu’à partir de 1663 les navires quittant les ports de l’Atlantique en direction de la Nouvelle France emmènent à bord de jeunes prostituées!
Racontars malsains dont on a l’assurance qu’ils étaient parfaitement infondés.
A cette époque plusieurs centaines de jeunes femmes natives pour la majorité du nord-ouest de la France sont" venues à la colonie" fonder un foyer et, pour la majorité, seconder leur futur époux dans les travaux agricoles…
Il s’agissait de jeunes femmes honnêtes, de condition modeste, qui devaient leur nom à la dot royale qui leur était accordée pour leur immigration : 50 livres, et divers objets utiles pour leur future installation. Célibataires orphelines ou abandonnées , elles avaient grandi en France dans des institutions charitables Quelques filles de famille sans fortune et des jeunes veuves sans soutien se joignaient à elles.
Laissant un monde connu derrière elles, partant en mer pour un long voyage aventureux et des horizons inimaginables, allant vers une vie de hasard et de labeur, ces courageuses pionnières méritent tout notre respect.
Les fameuses « filles du roy »peuvent alors franchir l’Atlantique.
Elles ne sont pas telles que les décrivent des fables désobligeantes :
-Les" filles du roy" du Canada sont des catins !
-On prétend qu’à partir de 1663 les navires quittant les ports de l’Atlantique en direction de la Nouvelle France emmènent à bord de jeunes prostituées!
Racontars malsains dont on a l’assurance qu’ils étaient parfaitement infondés.
A cette époque plusieurs centaines de jeunes femmes natives pour la majorité du nord-ouest de la France sont" venues à la colonie" fonder un foyer et, pour la majorité, seconder leur futur époux dans les travaux agricoles…
Il s’agissait de jeunes femmes honnêtes, de condition modeste, qui devaient leur nom à la dot royale qui leur était accordée pour leur immigration : 50 livres, et divers objets utiles pour leur future installation. Célibataires orphelines ou abandonnées , elles avaient grandi en France dans des institutions charitables Quelques filles de famille sans fortune et des jeunes veuves sans soutien se joignaient à elles.
Laissant un monde connu derrière elles, partant en mer pour un long voyage aventureux et des horizons inimaginables, allant vers une vie de hasard et de labeur, ces courageuses pionnières méritent tout notre respect.
bien dit, ce n'était pas des putes mais des fille à marier, les filles du Roy ! Vive le Nouveau-Monde ! T'as déjà habité chez nous Manouche ?
RépondreSupprimerHabité on peut pas dire , ma jolie Gueurnouille, mais j'ai fait deux séjours au Québec; un professionnel à Sherbrook et un pour le plaisir(ô combien!), partout en bus...ADORE!!!
RépondreSupprimerVotre amicale fréquentation ravive tous mes souvenirs.
Sherbrooke, Magog, l'Estrie ou les cantons de l'est comme on dit, une très belle région.
RépondreSupprimerRavivons ravison, ya pas de mal !