samedi 10 mars 2012
Merci Florence .
Elle a osé le dire sans passer, comme il n'y a guère, celles qui pensaient ainsi, pour une "anormale"...Tout le public a bien ri... et compati.
Beaucoup d'humour certes, mais des vérités, des opinions franches sur les difficultés physiques et morales des mères, qu'il ne faisait pas bon afficher..Il faut reconnaitre que dans une vie de femme les grossesses et les accouchements sont de rudes épreuves.C'est "comme cela", "c'est la nature" , il n'empêche, quel handicap par rapport à une vie d'homme. On ne peut rien y changer mais maintenant on peut en parler...
Dans les domaines possibles les féministes ont fait beaucoup pour l'amélioration de la condition féminine dans le couple,en famille, au travail, de la horde pacifique de celles qui se contentent plus discrètement de faire au mieux avec leur féminité .
Ce petit billet : un peu une façon de faire un postscriptum à la journée de la femme.
"La" journée...
Certes chez nous, lentement mais surement le schmilblic avance mais il y a, non loin, des sœurs, qui après une évolution favorable des mœurs dans leur pays subissent un retour à la case départ .Elles repartiront de zéro, et encore, quand ON leur donnera le top...
Que dire quant à la condition désespérément permanente et sans frontière des femmes humiliées,battues, torturées?
Hommes de tous pays unissez vous pour les soutenir et les aider :
"La femme est l'avenir de l'homme".
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Je ne me considère pas macho ni homme rose, ni têteux de boss. N'empêche que la journée du 8 je me suis permis de mettre quelques friandises sur le comptoir des femmes qui gèrent la compagnie de transport qui m'emploie.
RépondreSupprimerAh les femmes!Qu'avons-nous à regretter? rien!
RépondreSupprimernotre condition s'est tellement améliorée.
tant et si bien que certaines approchant la quarantaine s'interrogent sur une éventuelle maternité.
il n'en est pas de même partout dans le monde et c'est surtout sur elles qui faut s'apitoyer
bellemiche
Améliorée??? Certes!!! Quand on part de zéro, cinq c'est bien... mais ce qu'il nous faut c'est cent pour cent...
RépondreSupprimerMa grand-mère, chef d'entreprise prospère, n'avait pas le droit de vote; ma mère, chef d'entreprise également avait besoin de l'aval de son mari (pas bon à grand chose à part claquer le pognon qu'elle gagnait), oui, il fallait son aval pour les démarches administratives, elle n'avait pas de compte en banque personnel... Quant à la maîtrise de son corps et de sa fécondité... Aïe, Aïe, Aïe... j'en ai entendu dans les ateliers..des trucs qui ne m'étaient pas destinés...
Cheer up les filles! Y'a encore du boulot...
Ohhhh les filles !!!!!!
RépondreSupprimerOn se calme !!!!
Vous croyez que pour nous ce n'est pas difficile de faire un enfant ???
Je reconnais qu'il reste encore beaucoup à faire pour que la femme soit l'égale de l'homme:
- qu'elle apprenne le chemin le plus court pour aller au bistrot au lieu de bêtement directement rentrer à la maison faire ses devoirs ou faire la vaisselle, ...
- qu'elle apprenne un peu a cogner à tort et à travers pour persuader son mari qu'elle a raison, ...
- qu'elle apprenne à ouvrir sa braguette plus vite que son ombre pour leur demander s'ils en ont déjà vu "des comme çà" ?
- qu'elle se forme au maniement des kalachnikofs (?) et autres outils pour apporter la civilisation chez les sauvages, ...
.....
J'en oublie certainement, mais avec une journée par an, il va falloir qu'elles accélèrent drôlement pour nous rattraper !
Bisous
@ olivier-zoulou:
RépondreSupprimer-et qu'elles aient toutes, comme toi, le sens de l'humour!
c'est vrai qu'à lire petit Zoulou on a( les filles ) encore de sacrés progrès à faire ...dans la connerie! Alors , sur ce plan, n'ayons pas peur de leur rester inférieures!
RépondreSupprimerbises à ma manouche et à mon Zoulou.
Le grand désespoir des femmes, c'est justement de ne pas assez ressembler aux hommes.
RépondreSupprimerElles se trompent !
Henri
@Henri:
RépondreSupprimerErreur: elles ne veulent pas leur ressembler,elles veulent rester parfaitement différentes... et complémentaires, mais dans "le traitement social" elles demandent, à juste titre, l'égalité.