Un jour, un fleuriste se
rendit chez le coiffeur pour se faire couper les cheveux. Après sa coupe, il
demanda combien il devait. Le coiffeur répondit: "c'est gratuit, je fais du
bénévolat cette semaine". Le fleuriste s'en alla tout content. Le lendemain, en
ouvrant sa boutique, le coiffeur trouva à sa porte une carte de remerciements et
une douzaine de roses.
Plus tard, c'est le
boulanger qui se présenta pour se faire couper les cheveux. Quand il demanda à
payer, le coiffeur lui dit :"Je ne peux accepter d'argent, cette semaine, je
fais du bénévolat" Heureux, le boulanger s'en alla tout content. Le lendemain,
il déposa à la porte du coiffeur une demi-douzaine de croissants, avec un mot de
remerciements.
Puis, ce fut le député du
coin qui se présenta. Lorsqu'il voulut payer, le coiffeur lui répondit : "Mais
non, cette semaine c'est gratuit, je fais mon bénévolat !" Très heureux de cette
aubaine, le député quitta la boutique. Le lendemain, quand le coiffeur arriva
pour ouvrir, une douzaine de députés et de sénateurs attendaient en ligne pour
se faire couper les cheveux gratuitement...
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RépondreSupprimerOlá amiga, vim desejar-lhe uma excelente semana.
Beijos Marie.
Tu escritos te hacen volar,y con ellos tus seguidores te acompaañan
RépondreSupprimerSaludos
l'art et la manière "d'en croquer".
RépondreSupprimerBzzz...
très jolie fable
RépondreSupprimerIl a confondu sa personne et son métier ! Un peu de chocolat aurait fait l'affaire !
RépondreSupprimerelle est bien mignonne ton histoire la chute imparrable oui... ils sont bien là dans ta chute..; et aide à la notre . gros bisous
RépondreSupprimerPoujade, sors de ce corps !
RépondreSupprimerRooh... les rats !!!
RépondreSupprimerBISOUS
Acido, pero cierto.
RépondreSupprimerAndalucia,con ssus variedades de paisajes,és un paraiso para los fotógrafos
RépondreSupprimerSaludos
Très drôle. Plus sérieusement, les bénévoles n'attendent pas forcément un retour et j'espère que les élus de la nation ne se contentent pas de couper les cheveux en quatre.
RépondreSupprimerexcelente y certero.
RépondreSupprimerToute une bande de rapiats nous gouverne...
RépondreSupprimerBises, Manu.