| |||
|
mardi 30 janvier 2018
Objet : Google est mon ami.
vendredi 26 janvier 2018
Y'en a qu'ont essayé...
"La république des Pyrénées" 24:1:18.
"20 passagers du TGV 8591n'ont pu descendre à Pau. Le train est reparti alors que tous les passagers, notamment ceux installés à l'étage du train, n'ont pu descendre sur le quai.Le problème c'est que les passagers n'ont pas le temps de descendre du train. Une telle mésaventure était arrivée en octobre dernier pour 9 passagers qui avaient dû même se débrouiller tout seuls pour rentrer chez eux! cette fois des plateaux repas ont été offerts aux passagers palois... en gare de Lourdes" !!!!!
Les comiques ont du génie !!
jeudi 25 janvier 2018
Bois flottés
Récupérés sur une plage méditerranéenne ils sont maintenant arrivés au port après de périlleux voyages au long cours et mille aventures...
Ils soutiennent maintenant la passiflore...
... et le pied de vigne
mardi 23 janvier 2018
lundi 22 janvier 2018
vendredi 19 janvier 2018
Quelle humanité demain ?
Tous les géants américains du
web, Google, Amazon, Facebook, Apple sont en train d’investir en masse dans toutes les technologies qui créeront le transhumanisme. L’ usage des sciences :
robotique, intelligence artificielle, nanotechnologies, séquençage d’ADN rendront l’homme plus puissant, plus
intelligent et un jour peut être immortel… (La société de séquençage de Google
a obtenu en 2013 un brevet pour un système de calcul informatique permettant d’établir
le profil pathologique, la couleur des yeux et même la personnalité d’un futur
enfant….)
A partir d’aujourd’hui ces
sujets et d’autres tout aussi brûlants seront débattus dans le cadre des E4tats
généraux de la bio-éthique.Le programme est très large : la procréation asssistée,
la procréation par mère porteuse, l’euthanasie, le don d’organes, les
neurosciences,le rapport santé-environnement…
Il y a urgence, la science
évolue à grande vitesse.
Tout progrès technologique, toute découverte
seront un jour appliqués. Que cela inquiète, que les mœurs n’y soient pas prêtes
c’est pourtant inéluctable. C’est pour cela qu’un organisme tel que le Comité d’Ethique
est précieux, indispensable garde fou, pour poser les règles d’application .
Rire jaune
Emmanuel Macron a obtenu de Theresa May en augmentation à la contribution financière britannique au contrôle de la frontière à Calais, le versement de 50,50 millions d’euros…
En contre partie la France va prêter la Tapisserie de Bayeux !
Amis anglais ne faites pas grise
mine, c’est ça l’humour français.
A propos de l’écriture de « Macron »
cela les fera sans doute rire à leur tour que la correction informatique
renvoie encore à « Macaron »…
jeudi 18 janvier 2018
Les fautes que vous ne faites pas ...
Malgré que ou bien que ?
- Ce que l'on dit : "Malgré qu'il neige"
- Ce qu'il faut dire :"Bien qu'il neige"
- Explication. On peut dire "Malgré la neige", mais pas "Malgré qu'il neige." Selon le CNRTL*, la locution conjonctive "Malgré que" est considérée comme "vieille et littéraire" et même "incertaine par les puristes." Certaines expressions figées ("Malgré que j'en aie", qui signifie "malgré moi", est toutefois correcte).
Avoir l'air intelligente ou avoir l'air intelligent ?
- Ce que l'on dit :"Elle avait l'air réjouie"
- Ce qu'il faut dire :"Elle avait l'air réjoui"
- Explication. L'expression signale que c'est l'air du visage qui est le point de référence. C'est la raison pour laquelle l'accord se fait avec "air", masculin singulier. Si le mot "air" est défini par un complément, l'accord se fait également avec "air", point de référence : "Ils avaient l'air inquiet."
Attention : l'accord avec le sujet est
obligatoire si celui-ci est un nom de chose ("Cette fraise a l'air
sucrée"). Enfin, si on peut remplacer "avoir l'air"
par "sembler", l'accord se fait avec le sujet et non
avec "air" : "Ces hommes politiques ont l'air (semblent)
coupables."
- Ce que l'on dit : "La copine à Jean-Claude"
- Ce qu'il faut dire :"La copine de Jean-Claude"
- Explication. On utilise la préposition "à" après un verbe ("Le chapeau appartient à Julia") ou pour reprendre un pronom possessif ("C'est une amie à moi") mais pas entre deux noms ("Le chapeau à Julia"); sauf pour les expressions figées comme "Un fils à papa".
Attention : la faute vient
de l'usage populaire ("C'est la faute à Voltaire", chantait Gavroche
dans Les
Misérables de Victor
Hugo). Contrairement à ce que l'on pourrait penser, elle ne vient
pas d'une déformation de l'usage normé mais du maintien, dans les parlers
régionaux ou populaires, d'un usage de l'ancien français remontant au bas latin
et destiné à marquer la possession.
- Ce que l'on dit :"Je vais au coiffeur"
- Ce qu'il faut dire : "Je vais chez le coiffeur"
- Explication. C'est un peu comme le bruit des ongles sur le tableau
- : insupportable. Ce n'est pourtant pas bien compliqué. La préposition est "à" ou "au" avec les noms de lieux lorsque le complément est un nom inanimé désignant un endroit ("Je vais à la Poste", "Je vais au cabinet médical"). La préposition est "chez" avec les noms de lieux lorsque le complément est une personne ("Je vais chez le coiffeur").
Attention : on utilise la
préposition "chez" lorsque le nom introduit est celui d'une société
portant le nom d'une personne ("Je vais chez
Leclerc").
- Ce que l'on dit :"Si j'aurais su"
- Ce qu'il faut dire :"Si j'avais su"
- Explication. Si vous regardez Les Marseillais (célèbre émission de télé-réalité diffusée sur W9), vous avez sans doute entendu cette faute un million de fois (ou presque). Comme dirait votre maîtresse (ou votre mère) : "Les 'SI' n'aiment pas les 'RAIS'". En gros, lorsqu'il exprime une condition, "si" n'est jamais suivi du conditionnel passé mais d'un plus-que-parfait de l'indicatif. Par pitié, ne faites plus la faute.
- Ce que l'on dit :"Prête-moi ton ciseau"
- Ce qu'il faut dire : "Prête-moi tes ciseaux"
- Explication. Il s'agit en fait de deux choses différentes. "Un ciseau"est une lame, aiguisée à son extrémité, servant à couper le bois, le fer, le métal, etc. ("Le ciseau du sculpteur"). "Les ciseaux" (ou "la paire de ciseaux") sont composés de deux branches mobiles tranchantes jointes par une vis ou par un clou ("Prête-moi tes ciseaux, je dois faire des découpages"). À faire tourner à Momo, votre voisin de classe de CM2.
- Ce que l'on dit : "Des fois, il neige en décembre"
- Ce qu'il faut dire :"Parfois, il neige en décembre"
- Explication."Aux adverbes de temps 'Parfois' et 'Quelquefois', on ne doit pas substituer la locution adverbiale 'Des fois'", explique l'Académie française.
Attention : il est également interdit
d'employer la locution conjonctive "Des fois que" pour "Au cas
où". IN-TER-DIT.
- Ce que l'on dit : "Il est l'un de ceux qui pourra représenter la France"
- Ce qu'il faut dire :"Il est l'un de ceux qui pourront représenter la France"
- Explication."La correction grammaticale demande que l'on accorde avec l'antécédent, l'antécédent étant le nom qui précède immédiatement le pronom 'qui'", explique Jean-Loup Chiflet dans Oxymore et compagnie. "Ce pronom (sujet) transmet l'accord au verbe de la relative." C'est dit.
- Ce que l'on dit : "Par contre, je n'aime pas du tout ta veste"
- Ce qu'il faut dire : "En revanche, je n'aime pas du tout ta veste"
- Explication. En 1878, l'Académie française admet "Par contre" dans le style commercial (il s'agirait d'une ellipse de "par contre-envoi"). L'Institution l'exclut en 1932 avant de l'insérer de nouveau en 1988 : "La locution 'Par contre' ne peut être considérée comme fautive, mais l'usage s'est établi de la déconseiller chaque fois que l'emploi d'un autre adverbe est possible." Vous savez tout.
- Ce que l'on dit : "Mille (z)excuses votre altesse" (merci Ford)
- Ce qu'il faut dire : "Mille excuses votre altesse" (sans la liaison)
- Explication. L'adjectif numéral "mille" est invariable et ne prend donc jamais de "s" (contrairement au nom "mille", unité de mesure internationale pour les distances). Pas de "s", pas de liaison. Compris ?
Il est agaçant d'entendre dire :" Il a des chances de tomber" à la place de: "il a des risques de tomber" . Gardons la "chance" pour les événements positifs ....
dimanche 14 janvier 2018
vendredi 12 janvier 2018
mercredi 10 janvier 2018
Philo
Pensées
d’acteurs ( recueillies par JC Brialy)
Pour se
marier il faut un témoin ; comme pour un accident ou un duel (Sacha Guitry).
Avant
d’épouser quelqu’un , invitez son ex à déjeuner ( shelley
Winters).
Si vous
voulez remplacer l’admiration de beaucoup d’hommes par les critiques d’un seul,
alors : mariez-vous ! (katharine Hepburn)
Le
célibat : c’est de l’ennui. Le mariage : on a des ennuis ( sacha
Guitry)
Je me
suis marié deux fois et ce fut deux catastrophes : ma première femme est
partie et la deuxième …est restée ! (francis Blanche)
Mes
parents ont vécu 40 ans ensemble, mais par pure animosité (woody
Allen)
Le seul moment où une femme réussit à changer un homme
c’est quand il est bébé ( nathalie Wood)
Un
homme qui a réussi c’est un homme qui gagne plus d’argent que sa femme ne peut
en dépenser ; une femme qui a réussi c’est une femme qui met la main sur cet
homme-là (jean Yanne)
A la télé ils nous disent souvent qu’il ya trois millions
de Français qui veulent du travail. C’est faux : de l’argent leur suffirait.
( Coluche)
Il y a
certains acteurs qui attendent quinze ans avant de réaliser qu’ils n’ont
vraiment aucun talent pour ce métier. Souvent, à ce moment-là, ils sont trop
célèbres pour pouvoir arrêter (michel Galabru)
Certains ne sont jamais seuls ; ils sont toujours
accompagnés de leur connerie ( Arletty)
Un bon
traitement contre l’insomnie ? : beaucoup dormir ! ( w.c.
Fileds)
Votre
enfant devient adolescent lorsqu’il ne demande plus d’où il vient et qu’il ne
dit plus où il va (patrick Timsit)
Élever
un enfant c’est lui apprendre à se passer de nous (robert
Lamoureux)
Il y a
des gens qui augmentent votre solitude en venant la troubler ( sacha
Guitry)
Selon
les statistiques il y a une personne sur cinq qui est déséquilibrée. S’il y a
quatre personnes autour de toi et qu’elles te semblent normales c’est pas bon
( JC Vandamme)
Je
boirai du lait le jour où les vaches mangeront du raisin ( jean
Gabin)
Celui
qui sait rire de lui-même ne cesse jamais de s’amuser (shirley Mac
Laine)
Je ne
serais pas devenu sage sans avoir largement déraisonné avant ( daniel
Gélin)
J’ai
fait un régime pendant deux semaines. Vous savez combien j’ai perdu ? deux
semaines ! (josiane Balasko)
Je suis
deux régimes en même temps. - C’est pour maigrir plus vite ? – Non, parce
que avec un seul régime je n’avais pas assez à manger (
Coluche)
Ce
matin j’ai lu dans le journal que « peu de gens meurent passé cent ans ». Ils
font quoi alors ? (Michel Galabru)
mardi 9 janvier 2018
Vacances de Noël...
Ouf c'est fini !
Ce qui est agréable quand on aime bricoler c'est, à peu de frais réaliser ses caprices, en l’occurrence égayer un espace popote...
Dans la cuisine même pas assez de recul pour photographier le buffet en un seul cliché !
dimanche 7 janvier 2018
Avant de partir en voyage il y a
grosso modo deux façons de s’y préparer : Pas du tout… innocemment, la
fleur au fusil ! Ou très renseigné après de nombreuses lectures et
recherches. C’est ce qui différencie les sensoriels des cérébraux. Il faut avouer
que dit comme cela c’est assez brutal. Cependant si on y réfléchit …
Okuyama San m’avait
expliqué son intérêt pour les
« lieux habités », c’était clair. Si je l’avais parfaitement compris c'est que grâce à lui j’avais pu mettre des mots sur des
sensations si souvent ressenties sans savoir les définir. Par exemple dans les
grandes villes d’Egypte, de Grèce ou d’ Italie
Rome en particulier, qui sont des
villes « habitées ». Cela n’a rien à voir avec la population actuelle,
tout est dans l’impression faite au visiteur. Rien de plus jubilatoire, que
faisant le vide en soi on se laisse imprégner par la vie de toutes les
générations, les drames, les joies les défaites, les triomphes quelles y ont vécu,
parfois depuis l’aube de l’humanité…Se laisser envahir par toutes ces émotions
est pour moi l’heureux préalable à toute visite réelle, à toute étude
historique de la ville. La vieille Europe offre tant de ces cités mille fois
construites et reconstruites avec les pierres des édifices du passé !
Quelques vestiges à peine reconnaissables perdus dans une nature triomphante, transmettent
plus d’humanité nous faisant vibrer au même rythme que celui de vies passées,
que certaines villes modernes. Je pense en particulier à la superficialité, au
vide ressentis à Brasilia ou Yamoussoukro par exemple. Ces villes édifiées en
un chantier unique, sorties sans affect et d’un seul bloc d’un cabinet
d’urbanistes.
Bien sûr il existe d’autres endroits
que les villes qui ont une âme, qui de nous ne l’a ressenti dans un lieu de culte « habité » par
la communion des croyants ou même en visitant une maison que les
« ondes » de drames passés qu’elle dégage ont empêché d’acheter …
Une dernière anecdote :
La promenade à Tahiti dans une
chaude forêt luxuriante et fleurie était un enchantement. Tout à coup en même
temps qu’une vaste esplanade de pierre, nue, entourée de murets s’offrait à
mes yeux j’étais envahie par un froid glacial et une terreur irrépressible. Je
m’échappais en courant. J’ai appris plus tard que certains anciens au courant
des traditions osaient parfois avouer que ce
« marae », qui aurait dû comme
les autres, être destiné aux offrandes, était en fait sur l’île, le lieu de
sacrifices humains…
Inscription à :
Articles (Atom)