lundi 30 juin 2014
Ce lundi c'est maths
J'adore le savant et le personnage . Il n'a pas d'araignée au plafond mais à la boutonnière...
Son argumentation développée d'une voix de velours, mot juste articulation parfaite...j'achète !
samedi 28 juin 2014
vendredi 27 juin 2014
Suite...
Lu à l'instant dans la presse locale un article ainsi intitulé :
"Gynécos sur Leboncoin.fr"
"Une démarche choquante"
Surréaliste !!!
"Gynécos sur Leboncoin.fr"
"Une démarche choquante"
Surréaliste !!!
"Les temps modernes"
Une fille dit à son père
:
Papa je suis amoureuse j'ai rencontré Frédéric sur Meetic nous sommes devenus amis sur Facebook nous avons eu des discussions sur WhatsApp il m'a fait sa déclaration sur Skype Papa qu'est ce que t'en penses !!? Ma chérie, un conseil mariez vous sur Twitter achetez vos enfants sur eBay recevez les sur Gmail et si un jour t'es fatiguée de Frédéric mets le sur le Bon Coin |
jeudi 26 juin 2014
Excercice du jour, Moonwalk
En hommage...
Surtout ne pas oublier le gant indispensable pour réussir la chorégraphie!
mercredi 25 juin 2014
Cris et chuchotements
"Tu le sais,
bien sûr depuis longtemps, le coq chante, cocorico, la poule caquète, le chien
aboie quand le cheval hennit et que beugle le bœuf et meugle la vache,
l'hirondelle gazouille, la colombe roucoule et le pinson ramage Les moineaux
piaillent, le faisan et l'oie criaillent quand le dindon glousse La grenouille
coasse mais le corbeau croasse et la pie jacasse Et le chat comme le tigre
miaule, l'éléphant barrit, l'âne braie, mais le cerf rait Le mouton bêle
évidemment et bourdonne l'abeille La biche brame quand le loup
hurle.
Tu sais, bien
sûr, tous ces cris-là mais sais-tu ? Sais-tu ? Que le canard nasille les canards
nasillardent ! Que le bouc ou la chèvre chevrote. Que le hibou hulule mais que
la chouette, elle, chuinte. Que le paon braille, que l'aigle trompète. Sais-tu ?
Que si la tourterelle roucoule, le ramier caracoule et que la bécasse croule,
que la perdrix cacabe, que la cigogne craquète et que si le corbeau croasse, la
corneille corbine et que le lapin glapit quand le lièvre vagit.
Tu sais tout
cela ? Bien. Mais sais-tu, sais-tu ? Que l'alouette grisole, Tu ne le savais
pas.
Et peut-être
ne sais-tu pas davantage que le pivert picasse. C'est excusable ! Ou que le
sanglier grommelle, que le chameau blatère et que c'est à cause du chameau que
l'on déblatère ! Tu ne sais pas non plus peut-être que la huppe pupule. Et je ne
sais pas non plus si on l'appelle en Limousin la pépue parce qu'elle pupule ou
parce qu'elle fait son nid avec de la chose qui pue.
Qu'importe !
Mais c'est joli : la huppe pupule ! Et encore sais-tu ? Sais-tu que la souris,
la petite souris grise, devine ! La petite souris grise chicote. Avoue qu'il
serait dommage d'ignorer que la souris chicote et plus dommage encore de ne pas
savoir, de ne pas savoir que le geai, que le geai cajole ! Sais-tu que la
mésange zinzinule ! Comme la fauvette d'ailleurs."
"L'Albine" de Fernand
Dupuy chez "Fayard
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lundi 23 juin 2014
dimanche 22 juin 2014
samedi 21 juin 2014
Tarde em Itapoã
Pour la fête de la musique, la naissance de l'été et mon cher Brazil : le foot, no, Gilberto Gil, si !!!
jeudi 19 juin 2014
Crime d’un commis voyageur
Que faire du corps ?
Ce matin quand je suis parti au travail Line était triste. Peut- être le manque de
nouvelles ? Comme toujours ravissante dans son déshabillé, cette chose
rose, légère et transparente qui mérite bien son nom. Elle émiettait une
biscotte le regard vide errant sur la nappe de son portable silencieux à la
tasse de thé en fine porcelaine de Limoges, un petit cadeau. Je voyage
beaucoup, c’est ma fonction et chaque fois je ramène à Line un petit souvenir. A Line, ma Câline ma
femme. Si belle, si intelligente, le seul mais combien merveilleux cadeau que m’ait
fait la vie. En sortant de la maison sous le soleil de juin déjà chaud qui
illumine les feuillages vibrants de la grande avenue, je pense que c’est sans
doute exceptionnel au bout de tant d’années de mariage d’être aussi amoureux,
amoureux à en être fou.
Dans le garage, ma voiture de fonction est remplie dans tout
l’espace passager de cartons façon bois contenant les jeux complets de couteaux
de la grande fabrique que je représente.
Évidemment que je ne
l’ai pas tué avec un de ces couteaux de cuisine qu’ils contiennent, le cas
échéant il m’aurait trahi. Non, je l’ai étranglé, facilement, avec la
cordelière de sa robe de chambre. Je ne pense pas que cela s’appelle un
déshabillé pour un homme, cette chose soyeuse bariolée que portent les vils
séducteurs dans les séries américaines. Déshabillé--- déshabillés combien de
fois l’ont-ils fait, chez lui, chez nous ?
- Bonjour André il y a longtemps que je ne suis venu vous
rendre visite ?
Sur le trottoir de « La belle Auberge » à la
façade célèbre croulant sous une glycine odorante, le ventre avantageux corseté
de trois tours d’un tablier immaculé, André D… le célèbre chef étoilé vérifie
les menus installés dans un grand cadre doré.
- Te voilà petit, toujours chez « Lag… » ? Tu connais bien ton boulot parce que justement
j’allais t’appeler, ça s’use les couteaux, ça s’use. Allez, entre on va s’en
jeter un derrière la cravate.
Je vais garer ma voiture à l’ombre, il commence à faire
chaud et je pense à l’autre dans le coffre.
La grande salle est fraîche. Les tables d’un blanc lumineux
dans la pénombre sont déjà dressées, argenterie et cristaux, pour le repas de
midi.
- Je suis contente de vous voir s’exclame madame D…en me
sautant au cou dans un tintement or et perles. Venez dans la cuisine, Eric me
disait justement que le grand couteau à découper les viandes était complètement
usé.
Sur l’étal, dans un
coin de la cuisine aseptisée, carrelée de blanc, le commis, tourne, retourne une grande pièce de veau, détachant
un grand morceau de chair à chaque mouvement d’une experte main sanglante.
Pourquoi est-ce que je pense à une morgue ?---- Ce découpage, je ne pourrais jamais.
-ça ne va pas, vous
êtes tout blanc ? Je repousse l’invitation de rester déjeuner au prétexte
d’un autre rendez-vous. Les D… sont étonnés ils viennent de me prendre toute la « Série de couteaux
professionnels haut de gamme » de quoi suffire en chiffre d’affaires de
ventes pour toute la semaine. Ils doivent penser que je fais de l’excès de
zèle.
C’est vrai que je veux faire un autre arrêt, non
professionnel celui-là. Je débraye un peu sec et ça fait ploc dans la malle. Il
ne se laisse pas oublier, le salaud.
La famille dite d’accueil où j’ai passé mon enfance
orpheline, vit sur la départementale non
loin de « La Belle Auberge », je n’y suis pas revenu depuis ma
majorité. Je sens confusément que quelque chose de plus que la proximité sur ma
route me pousse à la revoir…
Dans la cour, béton et gravier, un gamin d’une dizaine d’années,
une cuvette sur les genoux écosse des petits pois. Il lève sur moi un regard
aussi triste que devait être le mien.
Ils sont là tous les deux dans la cuisine qui sent l’eau de
javel. Pour être propre c’est propre. Ils sont étonnés, me reconnaissent à
regret, sans aucun mouvement de sympathie, avec la même froideur que j’avais
connue dans mon enfance et qui m’avait laissé une terrible faim d’amour. Leur
seule réaction est la méfiance :
- Qu’est-ce que tu veux ?----- Comment
comprendraient-ils ce que je venais chercher même si c’était sans trop y
croire. Je retraverse la cour sans que le gamin lève la tête de sa bassine de
cosses.
Je bifurque dans un chemin creux et m’affale en larmes sur
le volant. Line doit être à table. Elle est très bonne cuisinière. Elle disait
que rester à la maison et s’occuper de
moi suffisait à son bonheur. Qu’est-ce que c’est que le bonheur ? Je
pensais être heureux. Et puis, voilà.
On doit commencer à s’inquiéter de voir
encore fermés les volets du pavillon de notre voisin : « Ce
riche écrivain, charmant célibataire, très aimé
dans le village »…
Il a fait de ma Line une femme infidèle et de moi un
assassin.
Mais que vais- je faire du corps ?
mercredi 18 juin 2014
mardi 17 juin 2014
A chacun sa fin.
Ça se passe au cimetière. Au moment de l'inhumation d'un célèbre
cardiologue, de nombreux confrères sont présents.
Pour la circonstance (vu qu'il est cardiologue), l'entrée du caveau a été ornée d'un énorme cœur de deux mètres de haut, fait avec des fleurs, et le cercueil est placé devant. Après le sermon et les adieux, le gigantesque cœur s'entrouvre, le cercueil est placé à l'intérieur puis le cœur se referme.
Tout le monde est silencieux, triste mais ébloui par cette démonstration
très significative !
Soudain, un homme éclate de rire.
Son voisin le réprimande d'un air sévère : Chut ! Mais qu'est-ce qui vous
prend de rire comme ça ?
Et l'homme de répondre, Je pense à mes obsèques : je suis gynécologue !
lundi 16 juin 2014
dimanche 15 juin 2014
vendredi 13 juin 2014
Mr What else dépassé...
On nous
ennuie un peu avec le glamour des comédiens américains , pourtant nous
sommes gâtés avec la famille de grands bruns à chaussures noires leurs sourires craquants et leurs élégantes silhouettes...
Laurent Laffite talent classique et humour.
Ben et sa folie . Il commémore à sa façon le D.Day :
dimanche 8 juin 2014
Conversation -14 avec Cora
- Ma chère Cora, pardonnez-moi d’avoir été absente si longtemps mais je devais…
- Ne t’excuses surtout pas, mon petit, je sais tout ce que
vous, les actifs, avez à faire et je suis simplement très heureuse de te voir. Tu tombes bien, j’ai fait une crème
renversée au caramel qui descend dans la gorge comme le petit Jésus en culotte
de velours. Ah ! Tu ne connaissais pas cette expression, normal, elle
vient du temps de mon enfance. Non, la portion n’est pas trop grande, c’est
très léger, il n’y a qu’une douzaine d’œufs…
…Mon enfance, elle est si loin ! Je pense que parmi
toutes les évolutions de la société ce qui a le plus changé c’est le statut de
l’enfant. Depuis très longtemps, jusqu’à une centaine d’années, il était le
même.
L’enfant n’était guère plus qu’une chose dépendante des
adultes, sans personnalité propre. Il n’était
pas reconnu en tant que tel mais considéré comme un petit d’homme, pas, trop ou mal aimé.
- Vous m’aviez déjà dit
que vous avez connu l’époque ou la mortalité infantile était courante.
- Oui, et la perte
d’un enfant était bien sûr très durement supportée. On faisait beaucoup
d’enfants pour " remplacer" les petits disparus et si tu consultes
des registres d’était civil tu seras frappée de trouver pour des enfants nés
après des frères décédés, l’usage du même prénom, comme pour conjurer la
fatalité. J’ai connu le début des vaccinations et la réticence des parents
frappés par les nombreux accidents comme celui « des petits enfants de Lübeck » morts
après des injections défectueuses. Tu n’as aucune idée du niveau d’ignorance de
la majorité des parents concernant la physiologie des enfants. Quant à leur
psychologie on ne leur prêtait guère
d’esprit ni même de sentiments ou de sensations…
Le devoir des « Grandes Personnes » était d'en
faire au plus tôt, avec l’éducation que chacun estimait la bonne, des adultes responsables.
Ils devaient plus tard être capables de mener une vie d’honnête labeur,
d’assurer une descendance et de prendre soin des vieux jours de leurs parents.
- Est-ce vrai qu’il y avait encore des châtiments
corporels ?
- Ta mimique me fait rire ? Ne crois pas que nous
étions tous des enfants martyrs comme on en voit hélas encore maintenant. Non,
bien sûr, mais personne ne mettait en doute
l’effet éducatif, dont nous profitions en général, d’une paire de
claques,d' une fessée ou de quelques coups
de martinet sur les mollets.
- O Dolto O
Russo !
- O pipo plutôt !
J’étais d’une sagesse
littéralement imbécile mais quand même souvent punie dans la mesure où mes
parents voulant faire de moi une « perfection » trouvaient que j’étais souvent « loin du
compte ». Ils avaient été très déçus que je ne sois pas née le Robert tant
espéré (Tu as raison : O Dolto !) Et, sexe faible, je devais essayer
d’atteindre les qualités qu’on ne prêtait qu’aux mâles. Il y avait ce qu’il
fallait « faire » et ce qui était défendu, pour ma docilité ce
n’était pas un problème. Plus difficile, le comment il fallait
« être ». Mes jeunes années dynamiques, curieuses, joyeuses étaient à
l’étroit dans ce moule de courage, d’esprit de sacrifice de modestie. Je devais
comprendre, pauvre fille, que la première vertu étant l’obéissance aveugle à mes
parents j’étais sensée n’avoir ni autre
désirs ni autres ambitions que ceux qu’ils m’imposaient « pour mon
bien » en particulier celui de rentrer dans le rang, de passer inaperçue,
fondue dans le modèle social en cours.
- Mais vous deviez être très malheureuse ?
- Pas du tout comme un petit animal bien dressé, j’avais ma
récompense : l’inestimable assurance de l’affection de mon père et ma mère. Je ne devais jamais la tromper. C’est maintenant, vois-tu, que je suis en
colère Pas contre eux, aimants, sûrs que leur façon de faire était la
meilleure, mais contre moi-même qui n’ai pas été capable, même, légèrement, de
m’imposer ! Ce rabotage bien
intentionné a influé sur toute mon existence, avec un gros paquet de complexes
d’infériorité, un manque total d‘ambition, aucune confiance en mes capacités,
une timidité maladive, une propension à abandonner dès qu’une réussite se
profilait… Honnêtement, je ne me suis jamais plainte de ce caractère fabriqué, grâce
auquel, finalement, ma paresse naturelle s’épanouissait pleinement…
- Mais tout de même vous vous êtes réalisée dans la
vie ?
- Réalisée… il aurait d’abord fallu que je sache qu’elle
était ma réalité puis que j’aie le courage l’imposer à moi-même et aux autres …Tu
ne le croiras pas mais quand après avoir obtenu
près l’Université de Bordeaux un diplôme de Mathématiques- Physique- Chimie,
j’ai été reçue au concours d’entrée à l’Ecole
d’Ingénieurs je me suis laissée
convaincre de mon incapacité à aller plus loin.
- Alors ça je ne le crois pas ! Qu’est-ce qui s’est
passé ?
-Nous étions très nombreux à nous présenter, pour 16 places.
J’avais été reçue seizième et seule fille. Force toi à imaginer le double
handicap… Aussi quand j’ai été appelée dans le bureau du directeur j’y suis
allée tête basse. Monsieur Cau, le directeur, était célèbre pour avoir refait (sans
ordinateur évidemment) les calculs pour la reconstruction du barrage de Génissiat.
-Quoi t’est-ce ?
- Cherche sur Wikipédia tu y trouveras sûrement le récit de
ce drame. La rupture du barrage avait dévasté la vallée et surtout causé bien des morts. Me voilà donc dans le bureau du génie qui me reçoit assis, minuscule, dans son grand fauteuil
et me toise par-dessus ses lunettes en demi-lune nouvellement inventées. –« Alors
c’est vous » ? - «-…. » -« Depuis
trente ans que je dirige cette école il
n’y a eu qu’une autre fille reçue au
concours et, me fusillant de son regard aigu par dessus ses verres, quand je
vous regarde je me demande si c’était bien une fille ! »
- Oh ! La brute ! Peut- être pensait-il vous faire
un compliment ?
- Cela m’étonnerait. Moi, toujours au garde à vous, il avait continué :-« Vous
imaginez ce vous allez souffrir en lanterne rouge… cinq années d’études si vous
arrivez au bout… et sinon des efforts pour rien, pas le moindre diplôme
intermédiaire ! Hein ? Hein ? » –« … » -«
Vous comprenez ? Vous n’êtes pas sotte et, ricanant, d’ailleurs qu’est-ce
que je ferais avec le bazar inévitable d’une fille au milieu de quinze garçons !
Soyez raisonnable, abandonnez».
- Et alors vous vous
êtes rebiffée, j’espère.
- J’ai obéi et ripé vers la fac de droit. Après une maîtrise
je suis devenue avocat et voilà.
- Et alors et alors ?
- Alors, laisse-moi regarder les cérémonies de la
commémoration du Débarquement. Ce 6 juin 1944 est tout frais dans ma mémoire
avec, intacte, la joie immense de tourner le dos à quatre ans de malheur.
C’était mon anniversaire
et j’ai dansé, dansé…
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Petite, j'ai retrouvé cette photo qui m'amuse, fais en ce que tu veux. Çà ne rigolait pas en fac de Sciences section M.P.C il y a plus de soixante ans! On ne pensait qu'à travailler. Pourtant je me demande maintenant si mes copains De Niro et Brad Pitt (!) n'étaient pas un peu amoureux de moi ...
Petite, j'ai retrouvé cette photo qui m'amuse, fais en ce que tu veux. Çà ne rigolait pas en fac de Sciences section M.P.C il y a plus de soixante ans! On ne pensait qu'à travailler. Pourtant je me demande maintenant si mes copains De Niro et Brad Pitt (!) n'étaient pas un peu amoureux de moi ...
samedi 7 juin 2014
Avertissement
Si tu veux parler à Dieu,
arrête-toi, choisis un endroit calme et parle-lui.
Si, par contre, tu veux le voir,...... envoie-lui un SMS en conduisant !...
Si, par contre, tu veux le voir,...... envoie-lui un SMS en conduisant !...
jeudi 5 juin 2014
mercredi 4 juin 2014
Gammes en M and S... à croquer.
Matinale magie, métal moiré mouvant
Mélodie mouchetée, mousseline en moutons
Méditerranée, ma mère.
Sentinelle solaire, séraphique et savante
Secret sculpteur de sophismes sacrés
Salut, O Seigneur !
Méditation sauvage métissée de saphir
Senteur marine, sanglots mauves
Spectacle souverain, mouettes suspendues
Scintillantes musiques, magnétique satin
Symphonie solennelle en
soupirs marengo
Moisson spirituelle , myriade subtile
Magnifique miroir de mythes solennels.
.
Sabbat sacrilège, satanique marivaudage
Mœurs misérables, souillure morale
Marin menteur, machiavélique et sulfureux,
Mousse marginal dans son marais saumâtre,
Monologue,
souhaitant mériter le salut.
souhaitant mériter le salut.
Soupir sublime, mortification sauvage
Supplique manifeste montant au mat de sel
Sacrifice, suicide, messe miséricordieuse
le matelot à marijuana, sanglotant
Supplie
Supplie
Saborder le malheur, survivre sans sombrer
Sceller au marbre ce sacrement salutaire
Sortir du sommeil, sentir, souffrir, saigner
Mascotte
souriante mourir
Mais
Sans souffrir…
Mais
Sans souffrir…
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