Petit, si petit ignoré sur les cartes,
le minuscule ilot de la Rémission.
Elle a essuyé mille tempêtes la coque
brisée que la houle roule aux récifs aigus.
Du marin malheureux demeure une palpitation
éclose au sable chaud, elle se transforme, s’étire, métamorphose heureuse.
La brise parfumée à nouveau respirée au doux rythme des flots, les couleurs du
vivant vibrant dans l’air léger, le chant des oiseaux longtemps perdu et retrouvé…
Le bonheur renaissant du vivre sans souffrir.
De combien d’heures sera l’escale ?
Pitié - Oubliez là le naufragé.
A mí todo lo relacionado con el mar, me da un poco de repelús.
RépondreSupprimerBesos.
Mieux vaut ne pas partir en vacances à l'île ...
RépondreSupprimerUna abraçada manouche..
Tener vacaciones es fabuloso
RépondreSupprimerLa gramática es tu gran forma de escribir
RépondreSupprimertexte manifique très polycémique
RépondreSupprimerile la rémission
merci ma très chére <manouche ainsi que la conscience sur la pêche éléctrique que je viens de regarder
merci
et je t'embrasse..
La dame en fuseau de satin noir
dans les défilé des "Nous"
Cela s'appelle du lâcher prise...
RépondreSupprimerTexte magnifique, oui qu'on oublie là le naufragé.
RépondreSupprimerChâpeau, Mme!!
RépondreSupprimer"Il y a souvent plus des choses naufragées au fond d'une âme qu'au fond de la mer" V.H.
Bizz, ma gitane.