"Les responsables étrangers qui se succèdent au Liban font un passage obligé par Beyrouth, le site du port soufflé par l'explosion et les quartiers environnants devenus un champ de ruines à l'instar de la ministre française des Armées, Florence Parly".
La pôvre !!!!
Une posture pure. Il est facile de s'inquiéter des taureaux du passé.
RépondreSupprimerUna abraçada manouche..
No te entiendo Nenito... pero tan contenta de tu vuelta !!
SupprimerGran abrazada.
Un télégramme des Armées???
RépondreSupprimerTerminé.
Bizz, ma gitane.