samedi 22 janvier 2011

Haïku

Or de primevère
murmures et frissonnements
le poids des ans.

1 commentaire:

  1. le TAÏCHI :
    *En gestes lents arrondis et gracieux
    L'ombre claire s'enroule majestueuse et apaisée
    Dans le soir qui descend
    tarzandany

    mais tarzan dany est vide , ma jacqueline, elle pense à cet homme si dur :
    Penché contre la dure margelle
    il vit une bête effroyablement triste
    Il eut peur, c'était lui !

    La fleur blanche du cerisier
    Ne reste pas sur l'aérienne branche
    Tout lasse et tout passe .

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