vendredi 26 septembre 2014
jeudi 25 septembre 2014
Dura lex
Une vieille demoiselle se présente chez
un notaire pour enregistrer l'acte d'achat de sa maison récemment acquise.
Le notaire l'invite à s'installer, appelle son clerc à qui il demande textuellement :
"Veuillez, s'il vous plait, ouvrir la chemise de mademoiselle, examiner son affaire, et
si les règles ne s'y opposent pas, faites une décharge pour qu'elle entre en jouissance
immédiate !"
On n'a toujours pas rattrapé la vieille fille !!!!!
Pour moi, elle n'aurait pas dû fuir : elle aurait dû essayer de tirer
la chose au «clerc»....!
mercredi 24 septembre 2014
lundi 22 septembre 2014
Journée du patrimoine
Ce matin je me promenais innocemment dans le parc près de la rivière sous un soleil digne d'un vrai mois de juillet. Voilà que je tombe sur un cercle d'une quinzaine de personnes en conférence-débat, discutant sous les chênes de " L’économie de l'eau". Bon. Sympa mais pas de quoi mettre le feu à celle du lac.
- Je vous remercie dit l'animatrice et maintenant, toujours dans l'esprit de notre Patrimoine Naturel nos élus vous convient à un repas issu exclusivement de notre belle nature.
Pourquoi pas. J'ai bien regretté de n'avoir pas mon appareil photo pour immortaliser cette présentation originale.
Une série de tables basses, pieds en rondins dessus en ardoise couvertes de nourritures improbables colorées et parfumées. Une déco de larges feuilles de fougères, et en guise d'assiettes, au choix, des grandes feuilles ( comestibles) des moitiés de calebasses, d'énormes coquilles Saint Jacques...
Un banc recouvert de mousse pour s'essuyer les doigts.
- Approchez-vous, prenez un gobelet en bambou pour goûter aux boissons de menthe, thym ou sarriette.
J'avais soif, j'ai bu. J'avais faim j'ai mangé. Quoi ? difficile de retenir le nom de ces ingrédients plus bio que bio issus de notre environnement immédiat et pour moi parfaitement inconnus. Je dégustais une sorte de cookie à l'ortie, au maïs et aux girolles saupoudré de pétales de fleurs quand l’artiste qui avait préparé ce banquet s'est approchée de moi, mince et nerveuse comme un fil de haricot, un très joli visage sous une tignasse emmêlée.Très sincère je lui ai dit: "c'est délicieux".
Elle, comme si elle avait marché sur une vipère :
- Non ! ce n'est pas délicieux, c'est...Moi, quand on me ferme la porte au nez j'ai les esgourdes qui se bloquent et je n'ai rien entendu des qualificatifs qu'elle juge plus appropriés à son œuvre.
Un grand costaud habillé comme un charbonnier ( de charbon de bois évidemment) son compagnon sans doute, faisait passer des sauces jaunes rouges et vertes dans de profondes coquilles d'huitres . Étant donné son gabarit je le soupçonne de s'évader de temps à autre de sa hutte en rondins éclairée à la luciole pour dévaler vers le patelin le plus proche et s'offrir en douce des hamburgers-coca...
J'ai continué ma dégustation avec, je ne sais pas si on dit légumes, plantes ou herbes, des choses longues rondes, juteuses ou piquantes présentées sur des sortes de toasts dont je pas reconnu le goût mais la couleur : gris-chiné. Enhardie, je me suis cassée en deux pour piquer encore au ras du sol des sortes de rouleaux de printemps garnis de verdures croquantes, délicieuses. Pan sur la main! on ne dit pas délicieuses. Qu'y avait-il encore ? Ah oui, des tartelettes aux baies de pyracantha! Je crois que ce sont elles qui m'ont achevée. L'ensemble a eu raison de mon gésier pourri peut-être mais plus accoutumé aux colorants, conservateurs et autres steaks-frites...
Le rototo c'est mignon quand on est bébé, mais plus tard...j'ai cru m'en sortir en piquant des mûres et des figues mais pas moyen d'endiguer les remontées acides.
Pourtant je l'aime, moi, la Nature !
J'ai les dents du fond qui baignent dans le vitriol mais je suis ravie de l'expérience .
C'était plus marrant que de faire la queue pour avoir droit à la visite du musée du Moulin à Café !
Et pour ne pas mourir idiot :
- Je vous remercie dit l'animatrice et maintenant, toujours dans l'esprit de notre Patrimoine Naturel nos élus vous convient à un repas issu exclusivement de notre belle nature.
Pourquoi pas. J'ai bien regretté de n'avoir pas mon appareil photo pour immortaliser cette présentation originale.
Une série de tables basses, pieds en rondins dessus en ardoise couvertes de nourritures improbables colorées et parfumées. Une déco de larges feuilles de fougères, et en guise d'assiettes, au choix, des grandes feuilles ( comestibles) des moitiés de calebasses, d'énormes coquilles Saint Jacques...
Un banc recouvert de mousse pour s'essuyer les doigts.
- Approchez-vous, prenez un gobelet en bambou pour goûter aux boissons de menthe, thym ou sarriette.
J'avais soif, j'ai bu. J'avais faim j'ai mangé. Quoi ? difficile de retenir le nom de ces ingrédients plus bio que bio issus de notre environnement immédiat et pour moi parfaitement inconnus. Je dégustais une sorte de cookie à l'ortie, au maïs et aux girolles saupoudré de pétales de fleurs quand l’artiste qui avait préparé ce banquet s'est approchée de moi, mince et nerveuse comme un fil de haricot, un très joli visage sous une tignasse emmêlée.Très sincère je lui ai dit: "c'est délicieux".
Elle, comme si elle avait marché sur une vipère :
- Non ! ce n'est pas délicieux, c'est...Moi, quand on me ferme la porte au nez j'ai les esgourdes qui se bloquent et je n'ai rien entendu des qualificatifs qu'elle juge plus appropriés à son œuvre.
Un grand costaud habillé comme un charbonnier ( de charbon de bois évidemment) son compagnon sans doute, faisait passer des sauces jaunes rouges et vertes dans de profondes coquilles d'huitres . Étant donné son gabarit je le soupçonne de s'évader de temps à autre de sa hutte en rondins éclairée à la luciole pour dévaler vers le patelin le plus proche et s'offrir en douce des hamburgers-coca...
J'ai continué ma dégustation avec, je ne sais pas si on dit légumes, plantes ou herbes, des choses longues rondes, juteuses ou piquantes présentées sur des sortes de toasts dont je pas reconnu le goût mais la couleur : gris-chiné. Enhardie, je me suis cassée en deux pour piquer encore au ras du sol des sortes de rouleaux de printemps garnis de verdures croquantes, délicieuses. Pan sur la main! on ne dit pas délicieuses. Qu'y avait-il encore ? Ah oui, des tartelettes aux baies de pyracantha! Je crois que ce sont elles qui m'ont achevée. L'ensemble a eu raison de mon gésier pourri peut-être mais plus accoutumé aux colorants, conservateurs et autres steaks-frites...
Le rototo c'est mignon quand on est bébé, mais plus tard...j'ai cru m'en sortir en piquant des mûres et des figues mais pas moyen d'endiguer les remontées acides.
Pourtant je l'aime, moi, la Nature !
J'ai les dents du fond qui baignent dans le vitriol mais je suis ravie de l'expérience .
C'était plus marrant que de faire la queue pour avoir droit à la visite du musée du Moulin à Café !
Et pour ne pas mourir idiot :
samedi 20 septembre 2014
Médiéval.
Enfin quelque chose d'original dans le domaine de la chanson !
Du talent dans le jamais entendu .
Un artiste complet à forte personnalité.
Luc Arbogast est un merveilleux troubadour avec ses paroles venues de multiples univers et sa voix à la magique tessiture.
vendredi 19 septembre 2014
Acccélération
- Oh messieurs comment vous y allez, c'est pas encore le moment !
- Ben non, mais on installe tout le fourbi maintenant pour faire des économies.
Des économies! quelle trouvaille!
Envie de vous souhaiter à tous un excellent anniversaire, et pourquoi pas dans la foulée tous les suivants aussi . Ne soyons pas radins je vous souhaite encore un bel automne, un joyeux Noël et de belles Pâques en chocolat !
La bière fraiche étant propisse, comme chacun le sait, à la réflexion philosophique, j'extrapole avec les bans de mariage placardés à côté, désirant pour les futurs époux un heureux mariage et un divorce encore plus réussi. J'éponge mon front suant pour cause de canicule et d'une aussi intense réflexion.
Dire que je gaspillais au sens propre et figuré en achetant chez Leclerc les fournitures scolaires à la rentrée et non en juin comme on me le proposait ! Dans les gondoles ( il y a de quoi rire) c'était déjà la Toussaint et sa cohorte de fleurs en plastique! La fuite en avant. Le temps c'est de l'argent.
Il y a quelque part dans cette la démarche mercantile, pour ceux qui l'adoptent, un certain optimisme quant à l'assurance qu'il y aura des lendemains...
Mais j'ai l’impression que le film se déroule en accéléré. Je préférais le temps où, comme disait ma grand-mère : " A chaque jour suffit sa peine". Pourtant elle disait aussi : "Il faut suivre la mode ou quitter le pays"...
Demain je m'achète un dentier et, rapiat jusqu'au bout, un déambulateur...
- Putain quelle chaleur, garçon trois demis !
jeudi 18 septembre 2014
Soyez dans le coup !
Personne n'a oublié ce look infernal .
En feuilletant les pages-mode de Gala j'ai constaté que la collection automne hiver semble s'être inspirée de ce sketch.
Ne jetez rien, un jour ou l'autre avec vos vieilles nippes vous serez tout à fait IN .
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