Voulue, subie, inattendue... On ne sait pas toujours que c'est la dernière fois. Plus tard on réalise,
cœur brisé, que cette fois là
a clôturé une belle histoire, une période heureuse, un grand amour.
Que de regrets, que de remords peut-être ne n’avoir pas profité pleinement . On se battrait de ne pas avoir deviné que ce moment privilégié était le dernier d'une série à jamais perdue. Aveugles qui voulons croire que le bonheur, si rare, n'a pas de fin.
Ce moment qu'on ne savait pas ultime il aurait fallu le vivre avec l'intensité que donne le désespoir d'une perte irrémédiable . Le photographier, le filmer, l'écrire dans la partie tendre de la mémoire.
Au lieu de cela on l'a vécue insouciante, légère, joyeuse, oubliable, cette terrible dernière fois.
Il est des dernières fois qu'on n'oublie jamais... des chemins, des lieux sur lesquels on ne peut plus revenir... au moins pendant longtemps et comme pour les blessures, la cicatrice reste même si elle ne fait plus mal... la cicatrice est un souvenir..
RépondreSupprimerLa dernière fois n'est-ce pas la prochaine ? Une de perdue et dix de retrouvées.
RépondreSupprimerQuant à la bluette d'Alain Barrière, elle est trop indigeste (et je suis gentil).
Pas de regret... aller de l'avant - parfois avec la nostalgie au coeur!
RépondreSupprimerQue la última vez sea de lo que sea tarde en llegar, y cuando llegue que sea placentera. Bonitos vídeos.
RépondreSupprimerBesos querida.
C'est bien mieux de vivre insouciante, légère, joyeuse plutôt que d'être perpétuellement angoissée par la question lancinante et si c'était la dernière fois. Je te souhaite plein de nouvelles fois
RépondreSupprimerTu buén humor tye puede ayudar en muchas ocaciones
RépondreSupprimerLa dernière fois, bah! Focalisons-nous déjà sur la prochaine dernière fois...
RépondreSupprimerBizz, Manou.
Une terrible dernière fois, me fait toujours monter les larmes aux yeux .
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