mardi 29 mai 2018

Ben d'chez nous...



Le bon sens paysan plus fort que les mathématiques !
Il fallait la trouver cette solution...
À sa mort, un fermier laissa en héritage dix-sept (17) chevaux à ses trois fils.
Dans son testament, le père avait ainsi établi le partage de l’héritage :
Mon fils ainé recevra la moitié (1/2) de tous les chevaux.
Mon second fils recevra le tiers (1/3) de tous les chevaux
Mon plus jeune fils recevra le neuvième (1/9) de tous les chevaux
Or il était tout à fait impossible de diviser 17 chevaux par deux, par trois et par neuf.
A un moment donné, ils décidèrent de faire appel à un fermier voisin, dont ils appréciaient l’intelligence, dans l’espoir qu’il puisse trouver une solution à leur différend.
Le fermier prit donc le testament et l'examina avec grand soin.
 Après quoi, il alla chercher son propre cheval et l’ajouta aux dix-sept (17) autres.
Il y avait maintenant dix-huit (18) chevaux dans le champ.
Dès lors, il devint possible aux héritiers de procéder au partage, tel que prévu dans le testament du père.
 
· Fils ainé : la moitié de 18 = 9 chevaux
· Second fils : le tiers de 18 = 6 chevaux
· Plus jeune fils : le neuvième de 18 = 2 chevaux
En faisant l’addition, cela donna : 17 chevaux
Il restait donc un cheval, celui du fermier voisin que celui-ci reprit et ramena à sa ferme...
 
Et le problème fût résolu !
Hein! ça vous en bouche un coin les matheux...

6 commentaires:

  1. Madre mia manouche .. la chance que les fermiers soient sages, car je me voyais déjà faire des côtelettes "poltra" ce qui est très bien mais heureusement les chevaux ont trouvé leur sauveur ..
    Una abraçada..

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  2. Trop math pour moi,
    je me excuse.
    Bisous

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  3. Por aquí decimos que más sabe el diablo por viejo, que por diablo. Yo hubiera tenido que trocear un caballo, para resolverlo.
    Un abrazo, Manouche.

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  4. ouh là là !! Tout ce calcul mathématique , c’est à s'arracher les chevaux, heu , les cheveux !!

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