Mon cœur pétille d’allégresse,
Oubliées les heures sombres.
Du printemps renait la jeunesse
Les jours allongent sans une ombre.
Oubliées les heures sombres
Habillées de larmes amères.
Les jours allongent sans une ombre
Où jouent de claires chimères.
D’anciens jours trop lourds à porter.
Où jouent de claires chimères
Que la brise va escorter.
D’anciens jours trop lourds à porter,
Mes amis vont les alléger.
Que la brise va escorter
Décoiffant les fleurs du verger.
Mes amis vont les alléger
Leurs épaules où m’appuyer.
Décoiffant les fleurs du verger
Dans le halo vert du noyer.
Leurs épaules où m’appuyer
Des âmes à qui me confier
Dans le halo vert du noyer
Que le merle va glorifier.
Des âmes à qui me confier
J’en ai maintes de qualité
Que le merle va glorifier
En chantant la fidélité.
J’en ai maintes de qualité
Adieu chagrin adieu tristesse
En chantant la fidélité
Mon cœur pétille d’allégresse.
Un printemps qui fait du bien à l'âme!
RépondreSupprimerAdieu la tristesse. Bonjour, tristesse. Tristesse beau visage.
RépondreSupprimerUna abraçada manouche..
Bravo pour l'exercice Manouche !!!
RépondreSupprimerMon coeur pétille d'allégresse à sa lecture !
Gros becs
Très beau !
RépondreSupprimerBel exercice de style pour saluer l'arrivée prochaine du printemps
RépondreSupprimerAmicalement
Claude
Bravo! Bel exercice, beau poème…….Et vive le printemps !!
RépondreSupprimer