Le regard de l'homme de l'art contient toute la tristesse de l’impuissance professionnelle:
- Ma pauvre dame, il n'y a rien à faire.
- Mais c'est impossible, on ne peut pas être incurable aussi jeune !
- Vous savez il y a des constitutions particulièrement fragiles, peut être lui demandiez- vous trop ?
- Ah, non, je vous assure, uniquement les tâches qu'elle assurait pouvoir faire et pour lesquelles je l'employais avec modération. J'ai toujours eu le plus grand respect pour les travailleurs.
- Enfin elle n'est pas arrivée dans cette étape terminale sans qu'il se soit passé quelque chose de grave, que ce soit votre faute ou la sienne...
- Vous avez raison, en effet ; elle était tout le temps bourrée, mon imprimante.
Wouaârff!!!
RépondreSupprimerAh fais moi rire... j'ai un chaton qui a chpé le coryza et çà va mal...
c'est un appel au secours ?
RépondreSupprimersigné : le bricoleur fou
Bisous
Elle fait un delirium très mince !
RépondreSupprimerca le terrain peut finir très mal
RépondreSupprimerbravao la fan que tu es le pauvre Blomet j'ai trourné avec liui aussi dans pére et maire et dans d'autres truc où il était curé et ou j'étais amoureuse de lui
ggros bisous