jeudi 14 mars 2013

Action-réaction.

Voilà un couple dynamique qui, chaque seconde, régit nos vies.
Quand nous en sommes les décideurs conscients ou inconscients tout va bien ... ou mal, mais nous ne pouvons nous en prendre qu'à nous-mêmes.
La difficulté c'est qu'en général nous ne sommes pas maîtres de l'action et qu'il nous faut bien nous en accommoder en réagissant d'une manière plus ou moins satisfaisante.
L'étude du phénomène est complexe; on dit que Schrödinger y a perdu son chat  et que l'effet papillon est en corrélation.
Une formule mathématique?
Une illustration philosophique?
Non.Plutôt un exemple trampolinique :


                                               

8 commentaires:

  1. La version ludique. On ne sait pas lequel des deux s'amuse le plus.

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  2. Qu'est-ce qu'on a pu bousiller comme sommiers, à l'âge où il a fallu comprendre que le temps de faire du trempoline sur les lits était révolu...

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  3. L'inattendu permet de travailler nos facultés d'adaptation
    quand j'étais petit j'adorais sauter sur les édredons et m'enfoncer dedans. Quel bonheur !

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  4. Sea lo que sea, el juego es de importancia vital para nosotros, tanto niños como adultos, cosa que a menudo olvidamos...

    Besos

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  5. Amusant… :-)

    Nous sommes parfois maîtres de l'action, et alors ce sont les conséquences qui nous échappent entièrement. Peut-être.

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  6. Los niños que se crian rodeado de amor por sus semejantes,seran el dia de mañana personasd muy estables.

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  7. Voilà un jeu dangereux et stupide : là c'est rigolo, parce que l'enfant retombe "bien" sur le canapé, mais d'une part tomber sur les fesses n'est jamais très bon pour le coccyx, et d'autre part c'est une très mauvaise habitude de plaisir à donner à un gosse : il ne tardera pas à essayer tout seul, et s'il y a un coin de table à la place du canapé le jour il tentera l'exploit en solo... Sans compter tous les petits téléspectateurs que cette vidéo ne manquera pas d'inspirer.

    Et après les gens s'étonnent que voir des enfants victimes d'accidents domestiques mortels, pleurant comme des madeleines alors qu'ils en sont indirectement responsables les trois quart du temps... Quand je vois les quantités d'objets développés pour empêcher les enfants de se faire mal, alors que le plus simple reste de les éduquer en leur faisant prendre conscience du danger...

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