On dit : « Un bisou », oui,
d’accord, mais qu’est-que cela signifie ?
Bisou bataille, bisou tenaille, bisou grenaille, bisou
canaille ?
Bisou manqué, bisou
posé, bisou donné, bisou volé, bisou tenté, bisou valsé ?
Bisou menteur, bisou flatteur, bisou erreur, bisou baveur,
bisou sauveur, bisou rieur, bisou tanneur, bisou moqueur, bisou hâbleur, bisou
bêcheur ?
Bisou sauvage, bisou sage, bisou bagage, bisou dégage, bisou
tangage, bisou ramage, bisou volage ?
Bisou panache, bisou grenache, bisou bravache, bisou ganache, bisou vache ?
Bisou bavard, bisou Qatar, bisou tocard, bisou rencard ?
Bisou bancal, bisou banal, bisou vénal, bisou animal ?
Bisou gourmand, bisou savant, bisou râlant, bisou charmant, bisou galant ?
Bisou mou, bisou doux, bisou chou, bisou joujou ?
Muy bien, Manouche, por esta colección de besos. Me ha recordado la poesía Besos, de Gabriela Mistral, que tambien hizo una recopilación.
RépondreSupprimerUn...bisou :-)
Ella hizo un poèma;( por Google te agradezco conocerle ahora), yo escribo solo tonterias !!
SupprimerUn bisou manouche;
Un bisou farouche (??)
Ici on dirait: "un p'tit bec sucré".
RépondreSupprimerGrand-Langue
Hi hi hi… Je suis soufflé. Mais c'est Grand-Langue qui, à date, a le dernier mot : « un p'tit bec sucré » !
RépondreSupprimerSalut, Manouche ! Et salut Grand-Langue de la Rive Sud, de la part d'un gars du Saguenay, maintenant de la Rive Nord… :-)
bisou paillettes, bisou mitraillette.... je cale
RépondreSupprimerbelle fantaisie sur cette petite chose qui peut être rien et beaucoup
RépondreSupprimerbravao de ton petit cvoin de tranquilité , nous decouvrons ta palette et c'est un bonheur je sens que tu vas m'inspirer mes prochains thémes de tableaux
et les rameaux chez tante adéle je me le fais tirer et je te ferai un petit billet , je me regale de tes textes
bisous pour honorer ton billet du jour
Bisou... Faiche...
RépondreSupprimerBisou Beurk...
On dit bisou pour dire au-revoir,
On se lèche quand une poignée de main suffirait
On n'a jamais fait autant de "bisous" indifférents dans un monde de plus en plus difficile.
Sachez-le bonne gens:je ne bisouille pas, je ne bisouille personne...
Si vous voulez que je vous aime,
Surtout ne me bisouillez pas
Alors moi je dis : MILLE BISOUS !
RépondreSupprimerMoi, je préfère, baiser...
RépondreSupprimerohhhh merci, merci et bissous por toi, aujourd´hui et toujours
RépondreSupprimerCuándo existe amor,los labios de su pareja és como un imán que
RépondreSupprimerle atrae,y le hace perder la cordura.
Cuándo se mira una fotografia,esta tiene que dar alguna impresión
si no lo consigue é autor no llegó al espectador.
Saludo desde Andalucia
Un bec à chuque comme on dit par ché mi
RépondreSupprimerBisous
Jolie photo.J'ai envie de l'embrasser.
RépondreSupprimerBisou amical et bisou hiboux.
Me encanta llenarme la boca de esos caramelitos de anís. Recuerdo que cuando era pequeño me podía meter en la boca cientos de ellos. Un besote desde el sur del sur de la piel de toro.
RépondreSupprimerMoi, j' aime bien ceux-là...
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=x6QeFGIva7w
BisoubisoubisoubisoubisoubisoubisoubisoubisoubisoubisoubisouBISE!
Extra! même si Katerine n'et pas très appétissant!
SupprimerPas appétissant, c'est le moins que l'on puisse dire...
Supprimer;)
Ah bisou pour moi, ça rime avec Judas.
RépondreSupprimerC'est le sommet de l'hypocrisie sociale... Partout en France, vas-y qu'on pousse les femmes à faire la bise tous les matins, même si elles détestent la personne à qui elles la font. De plus c'est un contact physique avec les hommes qui me paraît extrêmement tendancieux : c'est une forme de harcelement, pour moi.
Alors on me dira que la bise, c'est pas pareil que le bisou, le bisou, c'est tout doux... Mouais. En tous cas, quand la bise fut venue... La mère 'Tsuki était déjà partie.
:D
"c'est un contact physique avec les hommes qui me paraît extrêmement tendancieux "..." forme de harcèlement"
SupprimerAh bon?
On vous oblige à faire des bises aux hommes?
( Allez voir en Italie par exemple, un pays où on n' embrasse pas. Ce sont des coutumes, des habitudes sociales, rien de plus. Et pas obligatoire!)
Et comme par hasard, bien sûr, c'est un mec qui répond ça... Magnifique.
SupprimerBien sûr qu'on nous oblige à faire la bise aux hommes : c'est une obligation sociale, la bise pour la femme cela s'entend ; les hommes ont le droit de se contenter de serrer la paluche, personne ne les regarde de travers quand ils tendent la main au lieu de la joue.
Ça me surprend pas que les Italiens soient plus en avance que nous sur ce coup-là ; ils ont toujours eu nettement plus de respect pour leurs femmes que les Français.
La bise c'est un contact physique rendu obligatoire pour les femmes françaises. Bien sûr il n'y a pas de loi l'exigeant, mais la pression sociale est énorme. J'ai de mon côté tenté l'expérience à plusieurs reprises en entreprise ou au quotidien (famille, amis, entourage) : le refus de faire la bise est très mal perçu, tout comme le refus de se maquiller, ou de s'habiller de façon féminine pour une femme. Et pourtant c'est un rapprochement physique trop intime pour être anodin. Sans compter la quantité de maladie que cette mauvaise coutume propage. D'ailleurs le seul moment où il est socialement admissible de ne pas faire la bise, c'est si on est malade. Les écœurants bisoutages reprennent aussitôt après, et qu'importe la contagion. Du coup ça ne me surprend pas qu'on soit le pays occidental le plus atteint par l'herpès...
Les hommes prennent d'ailleurs beaucoup de plaisir à faire la bise aux femmes : le nombre de fois où j'ai eu une trace mouillée sur ma joue après un bisoutage du matin, de la part de mon responsable hiérarchique ;j'ai été intérimaire, des chefs, j'en ai eu des paquets, et aucun n'a mimé la bise comme le font les femmes : tous ont recherché le contact de leurs lèvres avec ma joue, de façon consciente (drague sur le lieu de travail, très malvenue, extrêmement courante) ou inconsciente (geste de marquage de la femme considérée comme dominé).
Donc la bise, il n'y a pas pire en matière de harcèlement : tout le monde assure que c'est totalement innocent parce que c'est tellement répandu et pourtant c'est un geste d'une impolitesse et d'une effronterie absolument répugnantes.
D'accord avec Tsuki...
RépondreSupprimerCh'uis comme les putes: j'embrasse pas ....
Ou alors.... mais c'est autre chose...
Pareil. Quand j'embrasse, c'est mon homme : c'est le seul avec qui j'accepte de partager des miasmes.
SupprimerLes autres, j'évite comme la peste. (On ne sais jamais, des fois qu'ils l'auraient, la peste).
"bien sûr, c'est un mec"
RépondreSupprimer" Quand j'embrasse, c'est mon homme"
Ben, bon, on a compris que Tsuki est du genre maîtresse-chien...
Aux pieds les mecs!
:)
Il y a longtemps que j'ai compris que moins je fréquente l'humanité, mieux je me porte. Je n'exerce pas ce genre de relation ni avec des hommes, ni avec des femmes : la domination en relation ne m’intéresse pas le moins du monde. Juste l'amour. Mais c'est une denrée extrêmement rare, l'amour, en ce bas monde. L'humanité bâtit surtout ses relations sur de l'hypocrisie : on traverse la vie en faisant semblant d'aimer ou d'apprécier, tout en se réservant le droit de n'en penser pas moins. C'est un bouclier qui permet de survivre, certes, mais faire semblant d'aimer, c'est aussi une mauvaise habitude parce qu'elle entraîne des considérations fausses du point de vue social, comme la nécessité de se faire la bise pour se dire bonjour, surtout quand (comme en entreprise) on se déteste et on se serait prêt à n'importe quoi pour couler la personne à qui on la fait : c'est ça, le baiser de Judas, "défense des animaux".
SupprimerVous êtes très pessimiste vis à vis du genre humain Tsuki!
SupprimerD'une expérience personnelle peut-on faire une généralité?
Ne seriez-vous pas un peu misandre?
Je n'ai pas besoin de me baser sur mon expérience personnelle pour généraliser : l'humanité prouve chaque jour avec brio à quel point on ne peut pas lui faire confiance. Je vous renvoie à tous les crimes, violences, guerres; mensonges, etc. etc. etc. qui sont commis à chaque seconde par les 7 milliards de pignoufs que nous sommes. Ce que l'humanité a baptisé pompeuse son évolution reste une escalade dans l'horreur, doublée d'une course au pognon qui semble justifier hélas tous nos actes les plus minables.
SupprimerJe ne vois hélas pas d'action pouvant contrebalancer ce triste état de fait, mon cher JP.