Loin de moi l’ambition de me
lancer dans les débats actuels dont nous connaissons tous les arguments pour et contre ( exposés généralement par des hommes. On ne dit plus "mère porteuse" mais "femme porteuse"...).
Il existe une réalité incontournable : ce que la science découvre sera appliqué un jour où l’autre.
Il existe une réalité incontournable : ce que la science découvre sera appliqué un jour où l’autre.
La discussion est donc nécessaire,
peut être urgente, pour que l’éthique y trouve son compte.
Parmi toutes les questions non résolues
il en est une qui m’interpelle particulièrement.
Exposition :
Exposition :
Une femme A donne un ovocyte. Un
homme B donne un spermatozoïde. Après fécondation in vitro l’œuf est implanté
chez une femme C qui donnera naissance à un enfant lequel sera élevé par D ou D
et E, le ou les parents commanditaires. Sachant que l’étude clinique des éléments
matériels est parfaitement connue,
Question :
Qu’en est-il de tous les impondérables ? A moins de les nier ils posent aussi problème.
Qu’en est-il de tous les impondérables ? A moins de les nier ils posent aussi problème.
Que donnent A, B et C à l’enfant
d’incontrôlable scientifiquement ? Ce qui est inorganique, invisible. Quelle
est la part de chacun chez l'enfant dans la construction de son indicible, l'esprit, la sensibilité...l'âme.
Je n’ose y penser tant un début
d’imagination ouvre d’horizons sur la complexité du côté immatériel de tout
humain…
On peut déjà combler chez le ou les futurs
parents le « désir irrépressible » d’enfant, qu'en sera-t-il plus tard de la réponse au « désir irrépressible »
de l’enfant de connaître ses racines ?
la partie contractante de la première partie sera considérée comme partie contractante de la première partie.
RépondreSupprimerla partie contractante de la deuxième partie sera considérée comme la partie contractante de la deuxième partie.
Pourquoi ne faisons-nous pas de la première partie de la première partie la première partie de la deuxième partie contractante?
et où est la cigogne ..
Una abraçada manouche..
Amigo, la cigogne est dans les choux !
SupprimerCela pose aussi un problème de consanguinité, le jour ou l'enfant voudra à son tour faire un enfant, et le problème de certaines maladie qui peuvent surgir et ou il manquera l'information essentielle sur l'historique médicale, cela risque de provoqué des pertes de temps pour certains diagnostiques. Mais on occulte toutes ces choses pour se focaliser sur le droit, est ce bien raisonnable? Ne risque t-on pas l'effet boomerang? Un jour un enfant portera plainte car il se sentira spolié de son histoire.
RépondreSupprimerAmicalement
Claude
Je suis toujours perplexe face à ses transferts de vie. Cela m'interroge beaucoup !
RépondreSupprimeret si C accouche sous X, alors.
RépondreSupprimerBzzz...
falait regarder chez ruquier samedi dernier
RépondreSupprimeril y a eu un clache super
et très bien expliqué par l'animateur du divan
je t'embrasse
Tu imaginaci,on vuela mas alta que mis fantasias
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