samedi 13 octobre 2018

Voilà ils l'ont fait



Deux ourses pleines ont fait à grand renfort d'énergies humaines, financières et de transports le terrible voyage de leur Slovénie natale aux sommets des Pyrénées. Le prétexte à tant de dépenses en tout genre et de souffrance animale : repeupler les Pyrénées de cette espèce en voie de disparition . Mais non ! Elle n'a pas disparu de Slovénie cette espèce, qu'on l'y laisse perdurer. C'est du commerce, un commerce imbécile. Pauvres bêtes trimballées dans une petite cage de camion en avion, d'avion en hélicoptère pour être enfin libérées en montagne. Libérées? Accueillies dès leur contact avec ce sol étranger par des tirs de carabine et de pétards ! où ont elles fui, certainement affolées ?
Les pro-ours font les "bisounours" et nous promettent grâce à ces futures mères six ours supplémentaires. Il y en a déjà deux sur un petit territoire. Les anti-ours craignent pour leurs brebis. Il est vraisemblable que  les ours en mangeront quelques unes avant de descendre dans la vallée se rabattre sur les poubelles. Par le passé un ours a été tué par une voiture sur la départementale, un autre abattu par un habitant en légitime défense....
On se moque du contribuable et on ne respecte ni la nature ni les animaux.
Pro- ours, anti-ours ensemble créez un compte dans une banque slovène pour aider à y maintenir et prospérer les ours.
Cela sera vraiment ÉCOLOGIQUE
.



10 commentaires:

  1. Quel gaspillage d'argent encore une fois ! ces pauvres bêtes enfermées dans une cage et déplacées en avion et hélico. A quoi cela peut servir ?? à part faire plaisir à certains entêtés
    Bon week end Nicole

    RépondreSupprimer
  2. Voilà qui est dit !! Foutons leurs la paix à ces pauvres ours !!

    RépondreSupprimer
  3. Tu as tout à fait raison, sans compter le risque sanitaire, on est en train d'importer des maladies qui n'existent pas en France, la France n'a plus l'habitat nécessaire pour ces animaux, on le voit bien avec les loups, ils reviennent naturellement, si il y avait de la place pour l'ours il reviendrait naturellement, merde alors que l'on laisse faire la nature
    Amicalement
    Claude

    RépondreSupprimer
  4. Hello Manouche
    J'aime ton cri pour l'ours ! Je suis plutôt pro-ours et je trouve que ce sera une belle histoire si les bébés naissent et que les mamans ours ne se font pas tuées par les anti-ours...
    Bon dimanche et gros bisous d'O.

    RépondreSupprimer
  5. Les ours à part les poils durs sont des animaux intéressants à garder. Bien sûr, je ne suis pas un berger et je n'ai pas de moutons ni d'autres animaux en danger à cause de l'ambre de l'ours.
    Una abraçada manouche..

    RépondreSupprimer
  6. très difficile en effet. Quand on connait l'angoisse des bergers.
    je trouve ton idée génial
    et çà a du sens plus que l'absurdité de faire venir des ours dans les pyrénnées ils ont leur nombre et équilibre avec l'écosystéme
    je suis une grande conteuse de jean de l'ours.
    tu dois connaitre ce conte
    merci de ton petit mot très rassembleur de mots clés et tu sais en faire un merveilleux écho.

    J'ose plus metttre des textes
    et je n'ai pas le temps avec mon genou de trainer trop pour la bon salut mais de moi tu seras lu

    car c'est toujours dans le mouveau dans l'art et l'humour
    bisous bonne semaine.
    et sous dominante si tu croises un ours.

    RépondreSupprimer
  7. Je suis pour la réintroduction dans toute la France des tyrannosaures rex et vélociraptors. Question introduction, en ce moment je trouve que les gouvernement, comme mon gastro-entérologue, font très fort...

    RépondreSupprimer
  8. Si l'ours doit revenir dans les Pyrénées qu'on lui laisse le temps de revenir de son plein gré, comme l'a fait le loup.
    Et entre temps, qu'on travaille à trouver un modus vivendi entre les bergers, les loups, les ours. Ca existe dans d'autres pays.
    Le passage en force ne fait que durcir la position des éleveurs. Il faut reconnaître que trouver ses moutons égorgés dans leur pré, ça ne fait pas plaisir.
    Il faut de la pédagogie. L'homme, le loup et l'ours sont tous les trois au sommet de la chaîne alimentaire, alors forcément il y a concurrence .
    Mais je suis bien d'accord que ce n'est pas une réintroduction artificielle qui va arranger les choses; les éleveurs ont l'impression qu'on leur force la main et ils ont bien raison.
    Quant aux ours, il y en a en Espagne et rien ne les empêche de passer la frontière... sinon de la prudence de leur part...

    RépondreSupprimer